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LechĂąteau du Tertre de l'universitĂ© de Nantes occupĂ© par un collectif de soutien aux migrants. â F.Brenon/20Minutes Ecole des Beaux-Arts, bĂątiment du Tertre, Cap44
L'arrivĂ©e de migrants Ă Piriac Loire-Atlantique a provoquĂ© des rĂ©actions hostiles, notamment sur les rĂ©seaux sociaux. A contre courant, un collectif d'entraide a Ă©tĂ© créé. Par Cathy Ryo PubliĂ© le 19 FĂ©v 21 Ă 916 Des membres du collectif de soutien aux migrants accueillis Ă Piriac Echo de la PresquâĂźleLâannonce de lâarrivĂ©e de 156 migrants Ă Piriac, prĂšs de GuĂ©rande Loire-Atlantique a provoquĂ© une dĂ©ferlante de propos haineux de la part dâhabitants de la petite citĂ© balnĂ©aire mais pas une habitante de Piriac, Emmanuelle Dacheux, a dĂ©cidĂ© de crĂ©er un collectif dâentraide avec une page Facebook dĂ©diĂ©e. Ăa mâa rendue malade »Quand j'ai lu sur la page Facebook de la mairie tous ces messages de haine, ces rejets Ă©pidermiques, ça m'a rendue malade. Je ne peux pas concevoir qu'Ă Piriac il n'y ait pas de bienveillance. J'ai lancĂ© ce collectif d'entraide aux migrants sans trop savoir quel serait le retour, si je m'exposais moi aussi Ă des messages d'une grande violence. Cela n'a pas Ă©tĂ© le il y a seulement une semaine, le collectif a dĂ©jĂ plus 80 Soudanais, TchadiensLe 2 fĂ©vrier 2021, Piriac apprenait que suite Ă lâĂ©vacuation de deux squats Ă Nantes une opĂ©ration prĂ©fectorale de mise Ă lâabri » avait transfĂ©rĂ© 156 migrants au centre de vacances La Rose des Vents de ne sont plus que 106, des hommes, entre 25 et 45 ans, Ă ĂȘtre hĂ©bergĂ©s Ă Piriac, certains ayant finalement rejoint le site de PrĂ©failles ou des logements Cada centre dâaccueil des demandeurs dâasile.Leur durĂ©e de sĂ©jour devrait sâĂ©tendre jusquâĂ juin France Horizon, avec cinq salariĂ©s sur le site, a Ă©tĂ© missionnĂ©e par lâĂtat pour les accompagner dans leurs dĂ©marches administratives, sociales⊠permettre aussi Ă ces ĂrythrĂ©ens, Soudanais et Tchadiens de se poser aprĂšs des mois voire des annĂ©es dâerrance, souvent dans des conditions en ce moment sur Actu Le don, prĂ©texte Ă la rencontre »Ces hommes sont des personnes avant d'ĂȘtre des migrants. Et trop de gens oublient cette humanitĂ©,rappelle Emmanuelle le moment, le collectif a pu rĂ©cupĂ©rer essentiellement des des jeux de sociĂ©tĂ©, des dosettes de lessive, des ballons, des crayons, et surtout des tickets de bus Lila seraient les don, c'est un prĂ©texte Ă la rencontre. Nous aimerions proposer des Ă©changes entre ces hommes et les Piriacais pour dĂ©dramatiser. La peur et l'ignorance sont souvent sources du collectif imagine aussi crĂ©er une exposition photos, des moments dâĂ©changes, dâĂ©criture, pour que ces personnes laissent une trace de leur passage Ă Piriac ».Une bouĂ©e de sauvetage pour le centre On les accueille de gaietĂ© de cĆur et on assume. Pour nous, au-delĂ de l'aspect humain, c'est aussi une bouĂ©e de le site, qui appartient Ă lâassociation SĂ©jour Plein air, est ouvert toute lâannĂ©e, accueillant des scolaires, des colonies, des groupes, des particuliersâŠLa crise sanitaire a plombĂ© la frĂ©quentation. Une situation catastrophique qui a dĂ©clenchĂ© une cessation de paiements. Ă la fin de l'Ă©tĂ©, on a fait savoir que nous Ă©tions en grande difficultĂ©. Parmi les pistes, l'accueil de 26 janvier 2021 Pierre Chenot est contactĂ© par la PrĂ©fecture. Il nâa pas avons pu faire sortir du chĂŽmage partiel huit salariĂ©s et signer une convention avec la Ville de Nantes et l' de ces hommes lui permet de rouvrir et dâengranger de lâactivitĂ©, donc des ressources, pour Ă©viter la menaces au tĂ©lĂ©phoneMais Pierre Chenot nâa pas Ă©chappĂ© Ă la dĂ©ferlante de haine. J'ai reçu des menaces au tĂ©lĂ©phone. J'ai eu des rĂ©flexions Ă peine croyables, sans aucune retenue. On m'a demandĂ© de garder ces hommes enfermĂ©s dans le centre. Ils sont bien Ă©videmment libres de se dĂ©placer oĂč bon leur semble !Le collectif, par ses actions, ne dĂ©sespĂšre pas de crĂ©er des liens avec ces hĂŽtes de article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre L'Ăcho de la Presqu'Ăźle dans lâespace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute lâactualitĂ© de vos villes et marques favorites.
Brinde causette accueille les dĂ©munis depuis 1970, tous les matins. Câest un lieu de rencontre et de convivialitĂ© oĂč les accueillis se rĂ©chauffent dans lâĂ©change et le partage avec les bĂ©nĂ©voles. OĂč ? 1 bis rue Sarrazin, Ă Nantes (prĂšs de la place Viarme). Contacts : 02 40 20 31 79.
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Collectifde soutien de lâEHESS aux sans-papiers et aux migrant-e-s; Collectif du Cercle de silence de Poitiers; Collectif Justice & LibertĂ©s; Collectif Lille nouvelle jungle; Collectif Loire (42) "Pour que personne ne dorme Ă la rue" Collectif Migrants Paris 19Ăšme; Collectif Romeurope du Val MaubuĂ©e; Collectif Saint-Lois dâAide aux
Par avec AFPPubliĂ© le 08/11/2015 Ă 17h31 Un cocktail molotov a Ă©tĂ© jetĂ© dans un squat occupĂ© par des migrants Ă Nantes, provoquant un dĂ©but d'incendie dans la nuit de samedi Ă dimanche Un squat occupĂ© Ă Nantes par une cinquantaine de migrants africains a Ă©tĂ© la cible d'un jet de cocktail molotov dans la nuit de samedi Ă dimanche, provoquant un dĂ©but d'incendie, mais sans faire de blessĂ© , a-t-on appris auprĂšs de leur comitĂ© de soutien. Vers minuit, alors que les occupants s'apprĂȘtaient Ă s'endormir, un engin incendiaire a Ă©tĂ© lancĂ© par un inconnu par une fenĂȘtre de la maison du quartier Chantenay, qu'ils occupent depuis prĂšs prĂšs d'un an. "Celui qui a fait ça a voulu nous tuer"Un feu s'est dĂ©clarĂ©, que quatre d'entre eux ont rĂ©ussi Ă Ă©teindre avec de l'eau et des couvertures, selon le Collectif de soutien aux expulsĂ©s de la rue des place, des traces de suie Ă©taient visibles dimanche Ă une fenĂȘtre extĂ©rieure et Ă l'intĂ©rieur de la piĂšce atteinte par l'engin incendiaire, oĂč rĂ©gnait une forte odeur de brĂ»lĂ© , selon le quotidien Ouest-France , qui a rĂ©vĂ©lĂ© l'affaire. "Celui qui a fait ça, il a voulu nous tuer", a tĂ©moignĂ© un des occupants citĂ© par le quotidien. De plus en plus d'actes violentsLe Collectif a dĂ©noncĂ© dimanche une "agression criminelle et xĂ©nophobe , qui s'inscrit dans une suite d'actes de plus en plus violents Ă l'encontre des migrants inscriptions racistes, poses de cadenas sur les portes d'un squat et dĂ©gradations diverses Ă l'encontre des associations qui soutiennent les migrants".DĂ©nonçant "la politique laxiste du gouvernement et des autoritĂ©s locales, qui laissent toute libertĂ© d'agir lĂąchement Ă des groupes xĂ©nophobes et racistes", le Collectif a demandĂ© l'ouverture rapide de "centres d'accueil inconditionnel et de qualitĂ©" pour les personnes "sans abri, sans papiers, sans possibilitĂ© de travail". Outre la maison visĂ©e par le cocktail molotov, occupĂ©e par des migrants venus essentiellement du Soudan, d'ErythrĂ©e et de Somalie, un autre squat regroupe Ă Nantes plusieurs dizaines de migrants dans un presbytĂšre du quartier Doulon depuis l'Ă©tĂ© 2014.
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collectif de soutien aux migrants nantes