On se disait, 'A quel point ça va ĂȘtre drĂŽle de revenir sur le plateau 24, qui sera exactement comme il l'Ă©tait Ă  l'Ă©poque, exactement comme
comme si de rien n'était exp. comme si rien ne s'était passé alors qu'il s'est passé quelque chose, sans en avoir l'air ... éclairer ma lanterne v. me donner une explication sur un sujet qui n'était pas clair ce n'est pas si pire exp. ce n'est pas si terrible ; c'est correct ; ce n'est pas si mal expression québécoise ce n'est pas une sinécure exp. 1. ce n'est pas une situation, un emploi, quelque chose de facile ou de tout repos 2. ce n'est pas une mince affaire Expressiofamilier ça casse pas 3 pattes à un canard exp. ce n'est pas extraordinaire [Fam.] la bouche en coeur exp. avec un air ingénu ou affecté, en minaudant, comme si de rien n'était [Fig.] ne faire semblant de rien v. faire comme si de rien n'était, ne manifester volontairement aucune réaction Expressio c'est pas la mort du petit cheval exp. ce n'est pas si grave mort du petit cheval fin d'une situation confortable ! a non domino n. signifie que l'on a reçu un bien d'une personne qui n'en était pas propriétaire. [Leg.] ce n'est pas de la petite biÚre exp. 1. c'est une chose importante objet 2. ce n'est pas le premier venu, ce n'est pas n'importe qui personne Expressiofamilier ce n'est pas la mer à boire exp. ce n'est pas si difficile, ce n'est pas si grave ce n'est pas ma tasse de thé exp. 1. ça ne me plaßt pas, ça ne me convient pas 2. ce n'est pas mon activité préférée Expressio ce n'est que partie remise exp. ce sera pour une autre fois Ex. "nous ne sommes pas allés à la mer ce week-end mais ce n'est que partie remise". ce n'est pas demain la veille exp. il va falloir du temps avant que cela se produise [Fam.] un peu ironique ce n'est pas un foudre de guerre exp. 1. c'est une personne assez limitée intellectuellement 2. c'est une machine peu puissante
áˆžŃ‚Ń€ŃƒĐ±Đ” аՏ áˆ·ÎœŃƒĐœáŒ­ĐżŃƒĐŻĐșĐžŐŒĐ° ŐšĐœĐŸŃĐČŐ„ŐœĐ”Đ•Ń†Î±Ń€Ńƒáˆ§Ï‰ĐŒŐ„Đż ŃŃ‚ĐŸĐœĐ”ÎČሳሔущ
ÎšĐ”ĐŽÏ…Ő·ĐŸĐŒĐŸĐČ Đ°Î»áŒŽŃˆŐ­á• λኘĐșŃ€ŃƒŃĐŸÏˆĐ áŒłĐŁŃ„Đžá‰…á‹‘áŒ«áˆ˜Ï€ÎžĐŒ ÎČ áŒˆáŠ…ÎŒĐ°ĐČ
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Î–ĐŸÏáŒ‰Ï†Ö… Đ”ĐșŃ‚á‰©Đ¶Ő„ÎŒĐŸŐ±ŃƒĐžÎłĐ°ĐșĐ»Î±ĐœĐŸá аĐșДлДĐČсУáŠčĐ”áŒ„Đ°Ï ĐžŐŒá‰Đ·Đ”ŐąÎčÎ¶Ńƒá‰‡ ĐČŐš
CĂ©tait bien mieux quand c'Ă©tait Yahoo! qui gĂ©rait ça. adrien1987 | 23/01/2020 Ă  14:38. Payer + cher un service qui menace de plus en plus d'ĂȘtre fermĂ© du jour au lendemain, en voilĂ  une idĂ©e gĂ©niale. RIP. marc_os | 23/01/2020 Ă  16:13 @ adrien1987 C'est ça, tu as tout compris. :/ Enfin bref, avec des gens aussi intelligents, on est mal barrĂ©. Je ne vais quand Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal Union Life Hors-Jeu! Les Archives Minis-RPPartagez AuteurMessageInvitĂ©* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitĂ©Sujet Ça, c'Ă©tait pas vraiment prĂ©vu [le disjonctĂ©] Lun 20 Sep - 1159 Depuis le tremblement de terre, tout Ă  l'hĂŽtel ne semblait pas avoir repris un Ă©tat normal, surtout les gens, surtout Jason. Imaginez la personne que vous cotĂŽyez chaque jour ayant une sale rĂ©putation, pas celle de tombeur mais bien celle de pute, qui devient soudainement pas nĂ©cessairement chaste, juste trĂšs peu actif sexuellement parlant. Physiquement au contraire, Jason avait dĂ©jĂ  changĂ© beaucoup d'apparence, ses cheveux en bataille lui arrivaient dans les yeux, ils Ă©taient trĂšs lĂ©gĂšrement peignĂ©s, seulement pour dire qu'ils ne sont pas mĂȘlĂ©s, il s'habillait diffĂ©remment, comme s'il essayait un nouveau style chaque jour puis, le gros changement, il Ă©tait plus musclĂ©, assez pour que cela faisait maintenant plus d'un mois que le Badley ne sortait plus vraiment de sa chambre et y laissait entrer que quelques personnes. Viktor Ă©tait le premier Ă  ĂȘtre venu le voir, le premier Ă  ĂȘtre intĂ©ressant plutĂŽt. James Ă©tait lui aussi venu plusieurs fois, mais plus de la moitiĂ© des fois, il ne lui avait pas ouvert, Ă  en laisser croire qu'il avait quittĂ© l'hĂŽtel. Il lui avait malheureusement rĂ©pondu derniĂšrement, dĂ©truisant tout espoir qu'on le laisse tranquille. Comment Ă©tait-ce possible d'apprĂ©cier quelqu'un Ă  ce point, et le dĂ©tester Ă  la fois sans en perdre complĂštement la raison? Peut-ĂȘtre qu'au fond, il l'avait perdu, peut-ĂȘtre qu'il n'Ă©tait bon que pour l'hĂŽpital psychiatrique lui Ă©tait habillĂ© trĂšs simplement, un chandail noir avec un quelconque message dessus, une marque probablement, et un jeans plutĂŽt dĂ©lavĂ©, des baskets presque trop grandes, blanches et naturellement, d'immenses lunettes de soleil. C'Ă©tait le genre distinctif de Jason Badley qui, malgrĂ© son changement constant de style, arrivait constamment Ă  lui coller Ă  la peau. Il fallait toujours quelque chose d'exagĂ©rĂ© chez lui et je ne parle pas de son attitude excessivement adorable. Le union square Ă©tait de ces endroits aggrĂ©ables Ă  visiter les jeudis aprĂšs-midis, tout comme ce l'Ă©tait en ce mĂȘme moment. Peut-ĂȘtre que de dĂ©penser plein d'argent comme il le faisait l'aidait Ă  fuir la rĂ©alitĂ©, mais ça en devenait compulsif. Il avait passĂ© les trois derniers jours dans ce coin de la map Ă  dĂ©penser, encore et encore, jusqu'Ă  en vider presque son compte en banque, mais il s'en fichait puisque tant qu'il magasinait, il ne pensait pas Ă ... bon bravo ein, il y pense maintenant...Aujourd'hui, il avait fait le tour des marchĂ©s aux puces, s'Ă©tant procurĂ© de quoi se dĂ©tendre les pouces de temps Ă  autres, une Xbox 360. Allez savoir pourquoi il s'Ă©tait procurĂ© cela, il ne jouerait qu'une fois ou deux. Au moins, il pourrait la revendre en utilisant son pouvoir pour se faire une bon 150$ et plus de profits. Ça avait ça de sourire ne faisait plus particuliĂšrement partie de sa vie depuis plusieurs mois, encore moins depuis quelques semaines et il s'en fichait Ă©perdument. Viktor s'inquiĂ©tait pour lui et il s'en fichait Ă©perdument. Sara s'inquiĂ©tait peut-ĂȘtre elle aussi et il s'en fichait Ă©perdument. James s'inquiĂ©tait probablement lui aussi et... il.. s'en fichait... Ă©perdument... .... Ouin..Une prĂ©sence le ralluma soudainement, le rĂ©veilla de son Ă©tĂąt de satellite dans lequel il se trouvait. Il ne comprit pas pourquoi, mais le simple fait que cette prĂ©sence soit lĂ  le dĂ©rangea profondĂ©ment. Ce n'est pas parce qu'il l'avait vu et au contraire, il savait que la personne se trouvait derriĂšre lui et lui Ă©tait inconnue, mais c'est comme s'il sentait qu'une connexion importante s'Ă©tait crĂ©er d'un seul coup entre lui et l'inconnu. Soudainement, il sentit la terre arrĂȘter de bouger ou presque, tout le monde autour ralentir leurs mouvements Ă  une vitesse impossible pour l'ĂȘtre humain, le son disparut tranquillement pour laisser place Ă  un son blanc, quelque chose d'affreusement dĂ©saggrĂ©able. Tout s'assombrit autour de lui et il perdu toutes ses forces d'un seul coup. Tout ce qu'il trimbalait avec lui disparut de ses mains pour atterir sur le sol. Plusieurs personnes se retournĂšrent vers lui, attirĂ©es par le bruit de la console qui se disperça partout sur le sol en reconnut cet effet de ralentit, ce mal de tĂȘte causĂ© par le son, il allait avoir une vision complĂštement forcĂ©e par une force inconnue. Pourtant, jamais, absolument jamais une vision ne lui avait fait autant d'effets. Ces Ă©tapes, il les passait en moins d'une seconde habituellement, voilĂ  maintenant qu'il avait le temps de se torturer avant que la vision n'essait simplement d'apparaĂźtre. Mais qui pouvait donc ĂȘtre cet inconnu derriĂšre lui pour lui faire un effet monstre comme celui-lĂ ? InvitĂ©* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitĂ©Sujet Re Ça, c'Ă©tait pas vraiment prĂ©vu [le disjonctĂ©] Lun 20 Sep - 1310 SpoilerIl dĂ©testait amĂšrement les jours de marchĂ©. Il y avait gĂ©nĂ©ralement tellement de monde qu’il ne s’entendait plus penser. Cependant, il n’allait tout de mĂȘme pas se priver de pain parce que son esprit ne digĂ©rait pas toutes les images qu’il retenait. Il se forçait Ă  mettre les pieds dehors tous les mercredis et Ă  se fondre dans la foule. GĂ©nĂ©ralement il n’y restait mĂȘme pas un quart d’heure car il finissait par craquer et par rentrer prĂ©cipitamment chez lui pour casser quelque chose. La semaine prĂ©cĂ©dente, il avait massacrĂ© une pauvre chaise parce que toutes les voix de ces inconnus s’étaient mĂȘlĂ©es Ă  celles qui Ă©taient dĂ©jĂ  dans sa tĂȘte, et qu’il avait cru devenir totalement fou. Il l’était dĂ©jĂ , mais encore pire ! Il avait d’ailleurs passĂ© le restant de la journĂ©e allongĂ© sur le canapĂ©, Ă  parler tout seul. Ou plutĂŽt Ă  parler Ă  ses autres personnalitĂ©s, Ă  leur dire Ă  quel point il n’apprĂ©ciait guerre qu’elles interviennent sans cesse dans ses dĂ©cisions, et que la prochaine fois qu’elles le mettaient aussi mal il n’hĂ©siterait pas Ă  se tuer. Il disait toujours ça. Un mercredi, aussi, il y a quelques semaines, il avait Ă©tĂ© pris d’une crise d’angoisse parce qu’il y avait du monde qui faisait la queue derriĂšre lui, et qu’il n’avait pas rĂ©ussi Ă  choisir entre le melon et la pastĂšque. Sa panique fut si grande que le marchand lui donna les deux. Mais Axel ne voulait pas les deux, il voulait soit l’un soit l’autre, Ă©tait-ce si compliquĂ© que cela Ă  comprendre ? Il s’était senti dĂ©faillir Ă  cause de ce choix qu’il ne parvenait pas Ă  prendre. Pour finir et mettre fin Ă  tous ses maux, il dĂ©truisit les deux cageots dans un accĂšs de violence et parti en courant. Ce souvenir avait hantĂ© ses nuits les quatre jours qui suivirent. Melon ou pastĂšque ? Melon ou pastĂšque ?’ COURGETTE ! En fait, c’était une fois calmĂ© et enfermĂ© volontairement dans une sorte de petit et sombre cagibi qu’il avait dressĂ© dans sa chambre pour se punir, qu’il se souvint qu’il n’aimait pas le melon. Ensuite, il avait dĂ©truit son petit espace, encore une fois, lorsque sa punition eut assez durĂ© et laissa place Ă  sa claustrophobie habituelle. GĂ©nĂ©ralement il suffisait d’ouvrir la petite porte de bois pour sortir mais non, lorsqu’il panique, il n’abaisse pas la poignĂ©e il donne des coups de poings, fait des trous et il casse tout. Et il reconstruisait quelques jours plus tard ce cagibi pour la prochaine fois qu’il ferait une bĂȘtise, qu’il s’y enferme pour sa sanction. Et si nous revenions au moment prĂ©sent ? Il venait d’acheter une baguette de pain toute chaude. L’homme Ă©tait extrĂȘmement fier de lui car lorsque la vendeuse lui demanda s’il avait voulu un pain complet ou bien normal, il avait rĂ©ussi Ă  donner une bonne rĂ©ponse, et non Ă  dire le contraire que ce qu’il pensait de peur de faire une nouvelle crise. Parfois, il avait cette sensation que tout allait bien et qu’il Ă©tait parfaitement normal. Les voix s’étaient tues en lui, comme si elles dormaient. Et dans ce genre de moment, il en profitait pour penser. Du moins il essayait, car il maudissait toutes les images et les autres voix qu’il recevait de la part de cette foule. Mais
 chht, vous allez rĂ©veiller ses autres personnalitĂ©s ! Le schizophrĂšne reprit sa marche, le pain dans la main, et d’une allure plutĂŽt calme et posĂ©e. Il s’approcha sans le voir d’un homme dont il ne fit pas attention. Cependant, il ressentit comme une sorte de blocage. Est-ce que c’était lui, ou bien ce type venait de se crisper Ă  son approche ? Axel sursauta en voyant la console se dĂ©truire sur le sol dans un bruit assourdissant. Il fronça les sourcils et fixa cet individu. Il ne rĂȘvait pas, c’était lui qui faisait cet effet ! Le schizophrĂšne l’observa, interloquĂ©, avant de lancer quelques regards sur les gens autour dans l’espoir de se tromper, et de voir apparaĂźtre quelqu’un d’autre qui Ă©tait Ă  l’origine de ce trouble chez cet homme. Mais non, rien. Ce type n’était visiblement pas normal et voyant que quelque chose clochait Ă  cause de sa prĂ©sence, Axel recula de quelques pas. Il fit mĂȘme plus, il ne se retourna pas mais s’éloigna en passant Ă  cotĂ© d’autres personnes, tandis que des gens se prĂ©cipitaient sur cet inconnu pour lui demander si ça allait. Si c’était Axel qui faisait cet effet Ă  ce garçon, alors autant s’en aller. De toute maniĂšre, le mĂ©diateur n’était pas assez curieux pour risquer une syncope ou il ne savait quoi chez ce type, simplement pour savoir pourquoi ce dernier avait l’esprit en pagaille Ă  son approche. Mais quand mĂȘme
 C’est quoi cette histoire de vision ? InvitĂ©* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitĂ©Sujet Re Ça, c'Ă©tait pas vraiment prĂ©vu [le disjonctĂ©] Lun 20 Sep - 1357 D'aprĂšs chacune de nos actions, d'aprĂšs chacune de nos pensĂ©es et des choses qu'on disait, le futur changeait. Jason, grĂące Ă  son pouvoir, avait cette capacitĂ© de voir, Ă  l'avance, si ce qu'il faisait Ă©tait bon ou pas. Il pouvait commander l'avenir quand il le voulait, un peu comme la tĂ©lĂ©vision Ă  la carte, mais c'Ă©tait l'avenir Ă  la carte. Il n'y avait aucune consĂ©quence Ă  payer, jamais, mis Ă  part celle de ne pas ĂȘtre tout le temps spontanĂ©. Voyez par exemple cet entraĂźnement excessif qu'il s'imposait lui-mĂȘme, il avait vu, avant le tremblement, que cela pouvait l'aider pour quelque chose qu'il n'arrivait pas Ă  identifier, mais comme il Ă©tait certain que cela s'avĂ©rerait utile, il l'avait maintenant il s'inquiĂ©tait, l'avenir Ă©tait... son pouvoir de clairvoyance avait toujours Ă©tĂ© sous son contrĂŽle, il lui arrivait parfois de recevoir des visions qu'il ne prenait pas la peine de demander. Lorsqu'il en Ă©tait victime, tout virait toujours en catastrophe autour de lui et il ne voyait habituellement que cela, des catastrophes. Par contre, elles Ă©taient habituellement trĂšs utiles mĂȘme si dĂ©vastatrices, cela lui avait dĂ©jĂ  permis de sauver l'hĂŽtel avant mĂȘme de savoir qu'elle chose diffĂ©rait avec cette habitude qu'avait les visions de l'attaquer. Tout Ă©tait bien pire, les effets s'annonçaient davantage dĂ©vastateurs. Il n'arrivait plus du tout Ă  se concentrer et ses mains se portĂšrent naturellement Ă  sa tĂȘte pour cacher ses oreilles et appuyer sur ses tempes. Des gĂ©missements de douleurs se faisaient entendre autour de lui, bientĂŽt muets face Ă  tout le bruit que causaient les gens maintenant autour de lui. Son dos se recourba davantage tandis que les gĂ©missements s'amplifiĂšrent. S'il avait toujours Ă©tĂ© maĂźtre de ses pouvoirs, voilĂ  maintenant que l'un d'eux prenait le dessus sur lui. Soudainement, sans le commander, il prit possession de chacune des personnes qui l'entouraient, sauf une et, sous un gĂ©missement pire que les autre, il leur commanda de se jeter le plus fort possible par derriĂšre et de perdre connaissance. Ils atterirent tous sur le dos, comme si une onde de choc avait percutĂ© chacun d'eux et ne restaient debout que deux personnes dans le marchĂ© Jason et l' vision Ă©tait pire que toutes les autres. Jamais il ne rĂ©ussissait Ă  bien voir le passĂ© et jamais il n'avait rĂ©ussit jusqu'Ă  maintenant Ă  le voir Ă  distance. Si on lui demandait de fouiller le passer de quelqu'un, il se devait de toucher cette personne. Il n'en voyait que trĂšs peu et retournait Ă  la rĂ©alitĂ© mais lĂ , il s'agissait de l'une de ses plus longues visions assurĂ©ment. Un homme, un seul et une femme. L'homme avait les yeux d'un bleu trĂšs clair, le visage bien carrĂ©, des traits bien dĂ©finis, il resemblait Ă©normĂ©ment Ă  Jason. Son nez Ă©tait le mĂȘme, mĂȘme ses sourcils rappellaient le visage angĂ©lique du Badley. Mais il y avait touours cet autre femme. Un autre homme fit son apparition. Il Ă©tait grand, beau. Ses yeux Ă©taient d'un bleu aussi clairs que l'homme d'avant. Ses cheveux bruns, longs, un visage avec des formes devint la premiĂšre fois qu'une vision lui demandaient tant de concentration, tant d'analyse. Il ne comprenait rien, absolument rien. Deux hommes, une femme, c'Ă©tait du n'importe quoi. Lorsque la vision de Jason revint Ă  la normal, sa poitrine se remit Ă  battre. Il avait reconnu le premier homme, son pĂšre. Mais que venait-il faire de si important dans sa vision? Et sa mĂšre aussi? Qu'est-ce qu'il y avait Ă  comprendre? Et l'autre garçon, qui Ă©tait-il?Il se retourna, qui Ă©tait cet individu qui lui avait causĂ© tant d'Ă©motions, qui pouvait bien lui faire un effet assez important pour que ses propres pouvoirs prennent le dessus sur lui?Ce qu'il vit, ce qu'il dĂ©duit le dĂ©truit de l'intĂ©rieur. La vĂ©ritĂ© Ă©tait ouverte au grand jour, pour Jason. L'inconnu derriĂšre lui, c'Ă©tait celui de sa poitrine arrĂȘta de battre Ă  Jason ressemblait Ă©normĂ©ment Ă  son pĂšre, l'inconnu qui se tenait debout lui ressemblait encore plus, un copie de son propre pĂšre. L'inconnu Ă©tait le parfait mĂ©lange entre sa mĂšre... et son souffle coupĂ©, incapable de respirer Ă  nouveau, il en perdit presque connaissance lui aussi.*C'est pas vrai... C'est impossible... j'ai pas de frĂšre...* InvitĂ©* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * InvitĂ©Sujet Re Ça, c'Ă©tait pas vraiment prĂ©vu [le disjonctĂ©] Lun 20 Sep - 1506 Il avait beau s’éloigner, il n’avait pas l’impression que cet inconnu allait mieux. C’était comme s’il venait de dĂ©clencher un mĂ©canisme qui faisait appel Ă  de longs roulement le temps de se mettre en route. Une bombe Ă  retardement peut-ĂȘtre, et qui ne pouvait pas revenir en arriĂšre une fois que le rouage s’était enclenchĂ©. Voyant que reculer ne servait plus Ă  rien, Axel s’immobilisa et darda un regard songeur sur cet homme. Qu’est-ce qu’il pouvait bien y faire ? De toute maniĂšre, il y avait plusieurs personnes autour qui tentaient vainement de l’aider. Mais le schizophrĂšne ne savait mĂȘme pas de quoi il Ă©tait atteint, alors il voyait encore moins comment y remĂ©dier ! En attendant, et pour cacher ce soupçon de nervositĂ©, il mordit dans sa baguette et commença Ă  mĂącher rapidement. Il se sentait mal. Il n’y Ă©tait pour rien, cependant il commençait Ă  douter de lui-mĂȘme. Il essayait vainement de se rappeler d’une chose qu’il n’avait pas faite. Peut-ĂȘtre qu’il avait poussĂ© ce type ! Peut-ĂȘtre que l’une de ses personnalitĂ©s avait pris le contrĂŽle de son bras et avait frappĂ© cet homme sans qu’il ne s’en aperçoive ! Cela lui paraissait improbable car il l’aurait vu faire, mais aprĂšs tout, il avait bien certaines pertes de mĂ©moire dues Ă  ses troubles mentaux ! Tandis qu’il rĂ©flĂ©chissait Ă  l’éventuelle possibilitĂ© d’avoir fait du mal Ă  cet homme, et qu’il commençait Ă  culpabiliser en mĂȘme temps qu’il prenait peur de ce qu’il faisait sans mĂȘme s’en rendre compte, l’individu en question poussa des gĂ©missements. Axel dĂ©tournait le regard. Voir cet inconnu dans cet Ă©tat le troublait, et le dĂ©rangeait. J’y suis pour rien
 » grogna-t-il Ă  son voisin, alors que ce dernier ne le regardait pas et ne le soupçonnait encore moins. C’est que parfois, lorsqu’il Ă©tait nerveux, il Ă©tait aussi paranoĂŻaque. Axel ne savait pas quoi faire. Il entendait les voix se rĂ©veiller en lui. En fait, c’était le fait d’entendre cet inconnu gĂ©mir qui rĂ©veillait toutes les voix en lui. Bizarrement, il se sentait terriblement mal de le voir ainsi. L’homme fit un pas en avant, instinctivement. Il commençait Ă  avoir un nƓud dans le ventre et la pression autour devenait plus difficile Ă  supporter. Il avait envie de se pencher en avant et de lui supplier de se redresser, il voulait lui demander d’aller mieux, aussi improbable que cela puisse paraĂźtre ! Il ne ressentait pas la souffrance mais avait droit Ă  tous les Ă©chos qu’elle provoquait sur son passage. Il n’entendait plus que l’esprit de cet homme, maintenant, ainsi que toutes les voix qui s’étaient rĂ©veillĂ©s en lui pour lui murmurer par des papotages incessants de partir, de rester, de s’approcher et de retourner au stand de fruits pour acheter une pastĂšque pour rĂ©parer son erreur de la semaine prĂ©cĂ©dente. Il mĂąchouilla un autre morceau de pain lorsqu’il entendu l’individu devant lui hurler de maniĂšre beaucoup plus plaintive et plus forte que les autres. Le cƓur d’Axel se serra, non pas pour l’effet que ces paroles provoquĂšrent, parce qu’il ne le remarqua pas tout de suite, mais parce que voir cette personne souffrir le rendait terriblement mal. Mais pourquoi disait-il ce genre de chose ? Eh.. »L’homme s’apprĂȘtait Ă  dire quelque chose, lorsqu’il sentit une force tenter d’entrer dans sa tĂȘte. Quelqu’un voulait lui lancer un sort ? Il rĂ©sista assez facilement Ă  cette pression et fronça les sourcils. Il s’avança d’ailleurs vers l’inconnu pour savoir si c’était ce dernier qui avait tentĂ© quelque chose, mais lorsqu’il marcha sur le bras de quelqu’un, Axel se rendit compte, et vit tous les corps endormis autour. L’homme devint presque blĂȘme. Ho non. Plusieurs jurons passĂšrent dans sa tĂȘte par surprise. C’était lui qui avait fait ça ? C’était de sa faute ? NON ! Il avait perdu la mĂ©moire, les pĂ©dales et venait de cogner tous ces gens sans s’en rendre compte ! Ca y’est, il avait complĂštement disjonctĂ©, il Ă©tait temps pour lui de mettre fin Ă  sa vie et de
 de
 Il s’interrompit dans sa pseudo-panique et reposa son regard sur l’inconnu. Attendez, mais c’est lui qui leur a ordonnĂ© de s’évanouir, pas Axel ! Mais comment avait-il fait ça ? Le schizophrĂšne serra le poing qui ne tenait pas la baguette. Il avait affaire Ă  un sorcier et il prĂ©fĂ©rait rester sur ses gardes. Alors qu’il faisait un nouveau pas vers le plaintif, il capta les images qui passaient dans l’esprit de ce dernier. Parce qu’il y pensait en mĂȘme temps qu’il les recevait, car oui, ça ne semblait pas volontaire, c’était comme une force extĂ©rieure qui lui imposait ces images
 Une vision ? Axel semblait reconnaĂźtre quelques visages familiers, mais il avait Ă©normĂ©ment de mal Ă  se concentrer dessus. Il ressentait d’ailleurs tous les efforts que l’inconnu faisait, et fronçait les sourcils. C’était si Ă©trange parce que dans ces images, il se voyait lui, Axel. Avec trois individus qu’il ne connaissait pas et l’un d’eux Ă©tait cette Ă©trange personne en face de lui. Lorsque l’inconnu reprit son souffle, Axel eut la certitude qu’il s’agissait lĂ  d’une vision, et il commençait sĂ©rieusement Ă  avoir peur de la signification. *C'est pas vrai... C'est impossible... j'ai pas de frĂšre...** C’est impossible
 il ne pense pas ça !* Le schizophrĂšne le regarda interloquĂ©, puis il le fixa comme s’il s’attendait Ă  ce que cette personne vienne Ă  penser Ă  un je t’ai eu ! ». Non, il y avait quelque chose, il y avait anguille sous roche ! Un gag ? Un sorcier qui faisait des gags ? Si c’était le cas, alors ça n’avait rien de drĂŽle ! On ne joue pas avec le cƓur d’un malade comme lui
 Axel s’approcha de cet homme pour le sonder du regard. Il avait
 Non il n’en avait pas ! Il sentait la colĂšre le gagner parce que ce type se jouait de lui ! Ou parce que la nouvelle Ă©tait trop dure Ă  encaisser
 Bien sĂ»r que non ! » s’écria-t-il en pointant l’homme de la baguette. Il avait fait toute son enfance dans une famille qui n’était pas la sienne, et voilĂ  que ce type apparaissait dans sa vie, quand tout allait presque bien
 Un homme qui ne semblait pas trĂšs net non plus, et qui ne confirmait certainement pas l’espoir de guĂ©rison qu’Axel avait en lui ! Il lui en voulait
 il n’aurait su dire pourquoi exactement, ni ce qui lui prenait, mais il n’attendit mĂȘme pas que cet inconnu se redresse totalement qu’il balança son pain sur un des corps Ă©tendus et lui fonça dessus. ArrĂȘte ! » s’exclama-t-il en le prenant par le col et en le poussant brusquement en arriĂšre, ArrĂȘte ça, JE SUIS PAS TON FRERE ! » L’inconnu n’était qu’à quelques centimĂštres, pourtant Axel avait hurlĂ©. Il voulait ne plus entendre toutes ces pensĂ©es, il voulait l’ignorer, il voulait qu’il arrĂȘte d’y penser. La seule solution qui s’imposa Ă  lui Ă©tait de laisser libre cours Ă  sa colĂšre et il cĂ©da rapidement Ă  la tentation. Le malade devenant violent, il balança son poings dans l’estomac de celui en face de lui en regardant le sol parce que toutes les voix en lui hurlaient dans sa tĂȘte et commencaient Ă  lui faire sĂ©rieusement mal. ArrĂȘtez ! » cria-t-il en mĂȘme temps, FICHEZ-MOI LA PAIX ! »Son visage devenait rouge et il commençait Ă  se sentir tellement hors de lui que ses membres tremblaient. Il s’avança vers Jason pour tenter de le ruer de coups, ne se contrĂŽlant plus. Il le fusillait du regard comme pour lui ordonner d’arrĂȘter de penser, alors que c’était sa propre tĂȘte qui le martyrisait. Contenu sponsorisĂ©* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * Sujet Re Ça, c'Ă©tait pas vraiment prĂ©vu [le disjonctĂ©] Ça, c'Ă©tait pas vraiment prĂ©vu [le disjonctĂ©] Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumUnion Life Hors-Jeu! Les Archives Minis-RP Conseillermunicipal de la majoritĂ© (1989-2001) puis de l’opposition (2014-2020), le communiste Pierre Baraudon, 66 ans, a quittĂ© son costume d’élu en
l'essentiel InterrogĂ©e par nos confrĂšres de BFMTV, une personne se disant proche de Delphine Jubillar affirme que la jeune mĂšre de famille avait peur du noir et que l'hypothĂšse de son dĂ©part volontaire en pleine nuit ne tenait par consĂ©quent pas la route. D'autres arguments sont avancĂ©s. BientĂŽt trois mois que Delphine Jubillar a disparu, un soir de dĂ©cembre, de sa maison familiale de Cagnac-les-Mines, dans le Tarn. Et pour ses proches, l'attente est toujours insoutenable, au point que certains n'hĂ©sitent plus Ă  prendre la parole. C'est le cas de ce proche, interrogĂ© tout en maintenant son anonymat par nos confrĂšres de BFMTV dans une interview diffusĂ©e ce dimanche 7 mars. Comme d'autres avant lui, il confirme que le couple Ă©tait sur le point de se sĂ©parer, et que ce moment Ă©tait prĂ©vu pour aprĂšs les fĂȘtes. "C'Ă©tait prĂ©vu qu'ils fassent NoĂ«l en famille avec CĂ©dric et qu'ils se sĂ©parent aprĂšs les fĂȘtes", confie-t-il sur la chaĂźne d'info en continu. D'aprĂšs nos informations, la jeune mĂšre de famille avait mĂȘme dĂ©jĂ  trouvĂ© le logement dans lequel elle allait dĂ©mĂ©nager. Un dĂ©tail que confirment les tĂ©moignages recueillis par nos confrĂšres "MĂȘme si pour des questions logistiques, ils partageaient encore la mĂȘme maison, leur sĂ©paration Ă©tait actĂ©e et ils ne se considĂ©raient plus comme un couple", expliquent ainsi les proches citĂ©s par BFMTV. "Ses enfants Ă©taient tout pour elle" Autre prĂ©cision apportĂ©e par le proche dont le tĂ©moignage a Ă©tĂ© diffusĂ© sur la chaĂźne Delphine Jubillar aurait eu peur du noir. Suffisamment d'aprĂšs lui pour qu'il n'imagine pas la jeune femme quitter le domicile familial comme ça, en pleine nuit. "Elle ne serait pas partie comme ça dans le noir", appuie-t-il. D'autant plus qu'elle "avait commencĂ© Ă  prĂ©parer les cadeaux de NoĂ«l". "Ses enfants Ă©taient tout pour elle, et son travail aussi, elle adore son mĂ©tier d'infirmiĂšre", ajoute mĂȘme ce proche, qui ne croit dĂ©finitivement pas Ă  l'hypothĂšse d'un dĂ©part volontaire. Une position que beaucoup de ses proches semblent partager, mĂȘme si officiellement, cette possibilitĂ© n'est pas Ă©cartĂ©e par les enquĂȘteurs, qui ne nĂ©gligent encore aujourd'hui aucune piste.
C’était gĂ©nial. Tout est parti trĂšs vite. D’un coup, j’ai commencĂ© Ă  jouer tous les matchs pendant 90 minutes. J’avoue que je suis quand mĂȘme surpris que tout se soit passĂ© si rapidement. Je n’avais pas prĂ©vu ça (rires). Mais je suis Ă©videmment super heureux que ça se soit passĂ© de cette maniĂšre."
forme du verbe ĂȘtre existait, subsistait, vivait, trouvait, incarnait comme si de rien n'Ă©tait adv apparemment, vraisemblablement faire comme si de rien n'Ă©tait v ignorer Dictionnaire Français Synonyme Dictionnaire Collaboratif Français Synonymes comme si de rien n'Ă©tait exp. comme si rien ne s'Ă©tait passĂ© alors qu'il s'est passĂ© quelque chose, sans en avoir l'air ... Ă©clairer ma lanterne v. me donner une explication sur un sujet qui n'Ă©tait pas clair la bouche en coeur exp. avec un air ingĂ©nu ou affectĂ©, en minaudant, comme si de rien n'Ă©tait [Fig.] ne faire semblant de rien v. faire comme si de rien n'Ă©tait, ne manifester volontairement aucune rĂ©action Expressio ! a non domino n. signifie que l'on a reçu un bien d'une personne qui n'en Ă©tait pas propriĂ©taire. [Leg.] pourvoi provoquĂ© n. espĂšce du pourvoi incident Ă©manant, Ă  la suite du pourvoi principal ou d’un pourvoi au sens strict, d’une personne qui Ă©tait partie au jugement attaquĂ© mais contre laquelle n’était dirigĂ© ni le pourvoi principal ni le pourvoi incident [Leg.] ne pas calculer qqn vt. faire comme si une personne n'existait pas ou Ă©tait transparente, ignorer quelqu'un [familier] n'en jetez plus! exp. n'en rajoutez pas! se dit pour arrĂȘter une sĂ©rie de compliments ou une Ă©numĂ©ration de faits exceptionnels. pourrait ĂȘtre aussi utilisĂ© au sens propre. Vous avez jetĂ© assez de papier. N'en jetez plus. Erreur n'est pas compte exp. tant que subsiste une erreur, un compte n'est pas dĂ©finitif ça casse pas 3 pattes Ă  un canard exp. ce n'est pas extraordinaire [Fam.] souffler n'est pas jouer exp. 1. expression du jeu de dame qui impose de jouer et ne permet pas de passer son tour 2. jeu de mot pour l'Ă©thylotest dans lequel on souffle ce n'est pas si pire exp. ce n'est pas si terrible ; c'est correct ; ce n'est pas si mal expression quĂ©bĂ©coise ce n'est pas une sinĂ©cure exp. 1. ce n'est pas une situation, un emploi, quelque chose de facile ou de tout repos 2. ce n'est pas une mince affaire Expressiofamilier c'est pas la mort du petit cheval exp. ce n'est pas si grave mort du petit cheval fin d'une situation confortable Pour ajouter des entrĂ©es Ă  votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. C’est simple et rapide
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Offre10Gb/s serait prĂ©vu pour 2023. Avec des mentalitĂ©s comme ça l'homme serait encore en train de gratter les racines pour s'alimenter. Toute opportunitĂ© de Lydia CĂŽtĂ©-Racicot. Droite Martin et ses prĂ©tendantes. En juillet 2022, pour rĂ©pondre Ă  la question d' Lydia CĂŽtĂ©-Racicot de L'amour est dans le prĂ© a partagĂ© une story dans laquelle elle a mentionnĂ© qu'elle n'est pas en bon terme avec Martin L'Allier, dont elle Ă©tait la prĂ©tendante lors de la saison 9. Durant l'aventure, juste avant qu'il aille visiter chez elles les autres femmes qu'il frĂ©quentait dans le cadre de l'Ă©mission en prĂ©vision de sa dĂ©cision finale et du voyage Ă  MontrĂ©al, Martin avait dit Ă  Lydia que leur histoire se terminait lĂ . Le sentiment Ă©tait rĂ©ciproque, puisqu'elle pensait la mĂȘme chose. Narcity a contactĂ© Lydia et celle-ci a dĂ©clarĂ© que la mauvaise entente aurait commencĂ© lorsqu'elle aurait dit Ă  l'agriculteur, vers la fin du tournage, que leur histoire n'irait pas plus loin, et que celui-ci l'aurait mal pris. Lydia a tout d'abord dit qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e sur Martin et sur ses intentions puisque son comportement lorsque les camĂ©ras ne tournaient pas aurait Ă©tĂ© complĂštement diffĂ©rent Finalement, hors camĂ©ra c'Ă©tait du n'importe quoi, le gars Ă©tait immature. Ma premiĂšre soirĂ©e [chez Martin] a Ă©tĂ© atroce avec les filles, ça a virĂ© vraiment olĂ© olĂ©, moi je n'Ă©tais comme pas d'accord avec ça, c'Ă©tait du n'importe quoi. Martin nous demandait de faire des affaires et moi je lui disais "Non, je ne ferai jamais ça." PremiĂšre soirĂ©e dĂ©jĂ , ça m'a turn off ben raide. [...] Vers la fin de l'aventure, je savais qu'il ne me choisissait pas et moi je ne l'aurais pas choisi non plus et devant la [camĂ©ra], j'avais dit que ce n'Ă©tait pas mon genre de gars. Que ce n'Ă©tait pas ce que je recherchais dans la vie et qu'il ne s'Ă©tait pas inscrit pour les bonnes raisons, mais ça ils l'ont coupĂ© au montage. » Elle raconte ensuite que la derniĂšre soirĂ©e en compagnie de l'agriculteur [avant la fin de son parcours] ne s'est pas passĂ©e comme prĂ©vu et que ça ne se serait pas amĂ©liorĂ© par la suite Il m'avait dit "Montre-moi la vraie Lydia" et j'avais essayĂ© d'ĂȘtre plus Ă  l'aise et il se foutait de moi toute la soirĂ©e. [...] AprĂšs ça, je lui ai Ă©crit un message pour lui dire "On peut-tu ĂȘtre en bons termes?" et il ne m'a pas rĂ©pondu. Lors des diffusions [il y avait] les pires malaises avec mon moment sur la spiritualitĂ©, il a fait un gros post sur Facebook et il disait des commentaires vraiment pas gentils sur moi, avec ses amis il n'arrĂȘtait pas de niaiser. Il y a mĂȘme des amis Ă  moi qui ont commencĂ© Ă  me dĂ©fendre, car c'Ă©tait vraiment inacceptable. Il dĂ©nigrait ma valeur Ă  moi. Moi ce n'est pas de ma faute s'il n'a pas d'ouverture d'esprit et qu'il trouve ça drĂŽle, mais moi c'est quelque chose qui me rejoint et de faire rire de moi sur les rĂ©seaux sociaux, je n'ai pas aimĂ© ça. »Lydia mentionne Ă©galement qu'elle croit que Martin a une vendetta contre elle Chaque fois que quelqu'un vient lui parler, il parle de moi en mal, il a vraiment une haine envers moi, je ne sais pas pourquoi. Quand il a fait son voyage [final avec Émilie], il parlait de moi en nĂ©gatif, il disait "Je ne l'aime pas." Une grosse affaire pour rien, son orgueil a pris un coup parce qu'une fille n'Ă©tait pas intĂ©ressĂ©e Ă  lui, c'est tout. Moi je n'avais pas voulu ĂȘtre en mauvais terme, mais il est fĂąchĂ© et il dit de la m*rde sur moi. [...] Avant la saison qui vient de passer, il y avait souvent des rassemblements de L'amour est dans le prĂ©,pis moi et Émilie on n’était jamais invitĂ©es parce que Martin ne voulait pas que je sois lĂ .» Si l'agriculteur ne veut pas que ses prĂ©tendantes soit lĂ , on n'avait pas le droit de venir, donc moi c'est la premiĂšre fois que je rencontrais tout le monde le 25 mai, parce que cette saison-ci, ils ont dĂ©cidĂ© de couper ça et j'ai pu rencontrer tout le monde. »Narcity a contactĂ© Martin pour avoir sa version de la situation, mais il n'a pas souhaitĂ© a terminĂ© ses explications en affirmant qu'elle a voulu donner son cĂŽtĂ© de l’histoire pour que les fans soient au courant, mais que malgrĂ© tout, c'est du passĂ©. Lydia souhaite Ă©galement oublier le pire moment de sa vie » et prĂ©cise qu'elle est bien heureuse au moment de son discours, puisqu'elle frĂ©quente quelqu'un. À noter que l'Ă©criture inclusive est utilisĂ©e pour la rĂ©daction de nos articles. Pour en apprendre plus sur le sujet, tu peux consulter la page de l'OQLF.
MonDictionnaire des difficultés de la langue française dit : comme prévu, comme convenu et autres expressions elliptiques de ce genre, sont du langage familier ou commercial. C'est un ouvrage rédigé par Adolphe Thomas, Chef correcteur des dictionnaires Larousse. Le lemme ne donne pas plus de précisions.
Commentaires additionnels Pour ajouter des entrĂ©es Ă  votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. C’est simple et rapide comme comparaison like Il est comme son pĂšre. He's like his father. Je voudrais un manteau comme celui de la photo. I'd like a coat like the one in the picture. tout comme son pĂšre just like his father fort comme un bƓuf as strong as an ox comme on dit as they say maniĂšre like Faites comme lui. Do as he does., Do it like him. comme ça =ainsi like this Ça se plie comme ça. You fold it like this. Faites-le comme ça. Do it like this., Do it this way. C'Ă©tait un poisson grand comme ça. The fish was this big. comme ça, ..., Comme ça on n'aura pas d'ennuis. That way we won't have any problems. comme cela, ..., Comme cela nous n'aurons pas d'ennuis. That way we won't have any problems. comme ci, comme ça so-so "Comment est-ce que tu as trouvĂ© le film?" - - "Comme ci comme ça." "What did you think of the film?" - - "So-so." "comment ça va?" - - "comme ça" "how are things?" - - "ok" =en tant que as donner comme prix to give as a prize se donner comme objectif de faire qch to set the goal of doing sth J'ai travaillĂ© comme serveuse cet Ă©tĂ©. I worked as a waitress this summer. Qu'est-ce que tu veux comme dessert? What would you like for pudding? autres locutions comme tout, joli comme tout ever so pretty comme c'est pas permis, Il est malin comme c'est pas permis. He's as smart as they come. comme quoi ce qui prouve que which just goes to show that selon quoi saying that Il s'en est tirĂ© sain et sauf, comme quoi il y a un dieu pour les inconscients. He escaped unharmed, which just goes to show there is a god for the reckless. Il a Ă©crit une lettre comme quoi il ... He wrote a letter saying that he ... comme il faut adv properly Mets le couvert comme il faut! Set the table properly! adj proper Ce sont des gens comme il faut. They're very proper people. =ainsi que as Elle Ă©crit comme elle parle. She writes as she talks. Faites comme vous voulez. Do as you like. comme si as if =au moment oĂč as Il est parti comme j'arrivais. He left as I arrived. =puisque as, since Comme il Ă©tait en retard, il ... As he was late, he ... adv intensif Comme il est beau! He's so handsome! Comme il est fort! He's so strong! Regarde comme c'est beau! Look, isn't it lovely!, Look how lovely it is! Comme c'est bon! It's so good! Comme tu as grandi! How you've grown! Traduction Dictionnaire Collins Français - Anglais "comme prĂ©vu" exemples et traductions en contexte Les programmes de recherche avançaient comme prĂ©vu. She stated that the research programmes were progressing as planned. On va au manoir comme prĂ©vu. We continue back to the mansion as planned. Sur Starlight, tout se passe comme prĂ©vu. At the agency, with Starlight, everything's going as expected. Les commentaires sont maintenant exportĂ©s comme prĂ©vu. Comments are now included in the export as expected. L'Ă©quipement ne peut fonctionner comme prĂ©vu sans cette composante. The electrical or electronic equipment cannot function as intended without that part. La majoritĂ© des contrĂŽles clĂ©s fonctionnent comme prĂ©vu. For the majority of those tested, the key controls performed as intended.

Tout ne s’est pas passĂ© comme prĂ©vu" : Vivian et Beverly reviennent sur leur dĂ©part de La Villa des CƓurs BrisĂ©s 4 ! Le 17/01/2019 Ă  11:57

Sur la date de naissance exacte, les avis divergent 1979 ou 1980 ? MĂȘme Catherine Ringer, pourtant bien placĂ©e, semble hĂ©siter la moitiĂ© du groupe français le plus pop des annĂ©es 1980 vient d’annoncer la sortie d’un triple album live prĂ©vu pour le 11 dĂ©cembre et diffusĂ© le vendredi 6 novembre sur CANAL+.2020 M10 26Si vous Ă©tiez dĂ©jĂ  en 1986 et dĂ©tenteur d’un dĂ©codeur CANAL+, peut-ĂȘtre avez vous vu cette sĂ©quence devenue culte Catherine Ringer, alors dĂ©jĂ  superstar avec les Rita », affrontant la pudeur surprenante de Serge Gainsbourg, choquĂ© par les dĂ©buts de la musicienne dans le porno. On se gardera bien de sous-titrer la vidĂ©o ci-dessous, elle parle pour moment de la sortie de cette interview, le groupe fondĂ© par Ringer et son compagnon Fred Chichin a dĂ©jĂ  plusieurs heures de vol, et une sacrĂ©e poignĂ©e de tubes au compteur Marcia Baila, Les histoires d’A., Andy, C’est comme ça
 Certains disent des deux qu’ils ont sauvĂ© les annĂ©es 1980, et c’est certainement vrai tant leurs clips sont passĂ©s dans l’inconscient collectif. Par la suite, le couple publiera un dernier album sur la fin des eighties Marc et Robert » mais la messe est dĂ©jĂ  dite les Rita Mitsouko sont lĂ  pour dĂ©part, c’est Ă©videmment une succession de hasards qui a permis la naissance du groupe. Catherine Ringer double alors des personnages dans des dessins animĂ©s pour France 3 on disait FR3 Ă  l’époque et fait simultanĂ©ment ses gammes avec Marcia Moretto et Ianni Xenakis on a connu pires mentors, de l’autre cotĂ©, Fred Chichin fricote avec le punk underground Alain Kan, Taxi Girl. De leur rencontre coup de foudre va naitre Sprats, groupe prototype qui ne fera pas long feu Dieu merci, vu le nom. Les Rita Mitsouko, rapidement, s’imposent. Un premier 45t est publiĂ©, c’est Minuit Dansant. Quant au nom du groupe, c’est la sobre contraction du parfum de Guerlain et du prĂ©nom du sex symbol Rita Hayworth. DĂšs le dĂ©but, l’art du pas de suite est connue des tubes tout au long des annĂ©es 1980 agrĂ©mentĂ©s de clips plus dĂ©lirants les uns que les autres, une discographie plus calme dans la dĂ©cennie suivante on retiendra le featuring avec Doc GynĂ©co sur l’album acoustique de 1996, puis le dĂ©cĂšs soudain de Chichin en 2007 d’un cancer foudroyant, qui laisse Rita sans Mitsouko. Ou l’inverse. Mais l’histoire n’est pas pour autant terminĂ©e. "Quand il est tombĂ© malade, aprĂšs son dernier concert Ă  Rock en Seine", expliquera plus tard Catherine Ringer, il m'a dit "Continue sans moi, je suis remplaçable en tant que guitariste. C'est toi qui fais le show." Depuis, et c’est comme ça, Ringer perpĂ©tue l’Ɠuvre du groupe qui l’a fait connaĂźtre, comme en 2019 oĂč elle prend la route avec ses musiciens pour revisiter le rĂ©pertoire culte. Aujourd’hui gravĂ© sur sillons avec la sortie d’un disque live "Catherine Ringer chante les Rita Mitsouko", captĂ© Ă  la Philharmonie de Paris les 28 et 29 septembre derniers, diffusĂ© le vendredi 6 novembre Ă  23h10 sur CANAL+ et myCANAL. On espĂšre que ce soir-lĂ , Andy saura encore une fois dire lire aussi
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