miss-corso-italienne, Posted on Thursday, 15 December 2011 at 910 PM bon courage a la famille , c'est vraiment horrible et inhumain je me met a votre place ce meurtrié devrait etre torturé a mort !!!!!!!! je ne peux m'empecher de pleuré en voyant ce blog nous ne pouvons pas rester insensible a ceci sachant que sa maman ecrit avec son coeur c'est tellement réaliste .... pauvre petit loucathe, Posted on Sunday, 31 October 2010 at 1133 PM KIKOU ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~/^~~~je porte bonheur ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~/^~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~~~~~~~~~~~^\ /^~~~~~~je vous l'offre ~~~~~~~$$~~~~~~~~~~/^~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~$$$~~~~~~^\ /^~~~~~~~avec mon coeur ~~~~~~$$$$~~~~~~~/^~~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~$$$$~~~~^\ /^~~~~~~~qu'il vous amène ~~~~~~$$$$$~~~~~~/^~~~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~~$$$$$~~^\ /^~~~~~~~plein de bonheur ~~~~~~~~$$$$$~~~~//~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~~~~~$$$$~~~//~~~~~~~~~a tous mes amis ~~~~~~~~~~~~$$$~~//~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~~~~~~~~~$$~//~~~~~~~~~et visiteurs ~~~~~~~~~~~~~~~$$//~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ ~~~~~~~~~~~~~~~~$$//~~~~~~~~gros bisous victorialive1995, Posted on Saturday, 11 September 2010 at 232 PM Très beau poème!!!! DiomX, Posted on Monday, 09 August 2010 at 1206 PM Bonjour Véronique Comment vas-tu? Je passe te faire un gros coucou,il fait beau aujourd'hui encore. Je te souhaite une bonne journée,je n'ai toujours pas de véhicule mais des que j'en ai un je reviendrai. A bientôt,prend bien soin de toi. Christian yvette , Posted on Thursday, 29 July 2010 at 1034 PM très joli poème BaaibiexJuulie, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 640 PM Je tenais a te prévenir que sur le facebook de Liil Clara Via Pepito . Dans son album " la bande exeptionnelle " elle a pris la photo ou tu as marqué " Je t'aime " la ou Valentin est mort. Je sais que ce n'est pas facile , mais je te souhaite beaucoup de courage. Nadia, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 630 PM Bonjour y a rien à dire ce poème est si beau je vous envois beaucoup de douceur et mille bisous à notre ange qu'on oubliera jamais ...avec amitié .... TinusLeCriquet, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 552 PM Coucou Véro , j'ai réussi à remettre la Vidéo " Valentin pour la Vie " ; ce jour-ci précisément . Je suis soulagé que cela marche , c'est un clin d'oeil à Valentin . J'y tenais beaucoup. Je vous l'avais promis , c'est chose faite . Je suis avec vous par la pensée et l'amitié qui nous unit. Je ne vous oublie pas , je n'oublie pas notre rencontre . C'est gravé dans ma mémoire pour toujours. J'espère vous revoir un jour ..je pense très souvent à vous malgré mon silence téléphonique . VALENTIN est bien présent avec nous , sur le chemin de notre Vie . C'est certain. Il ne sera jamais oublié . Nous y veillerons . Il le mérite tout simplement . Nous devons honorer sa personnalité d'enfant , son courage et sa joie de vivre que tu nous fais découvrir avec émotion dans ce superbe blog . Je vous embrasse bien amicalement. Gros Bisous . CHRISTOPHE coco, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 537 PM coucou Véro Une pensée très sincère pour Toi aujourd'hui pour toute ta famille mais surtout le ce Ptit Ange Valentin parti beaucoup trop tôt, mais que l'on n'oubliera jamais. Courage , continue le combat afin que soient sévèrement punis ces monstres et essaie de tenir le choc en attendant le pense fort à Toi autant que tu peux l'imaginer... Gros gros bisous mariodeconnerre72160, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 253 PM Petite pensée pour Valentin pour ce triste anniversaire! nono59360, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 1233 PM trop jolie le poéme malgré mon absence qui j'espere vous ne m'en voulais pas j'ai toujour une pensée pour vous et mon petit ange valentin que je fais pleins de bisous . CHOUBAKA47, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 1137 AM salut Véro , un ti coucou a toi jespère que tu va bien ainssi que J-P et ta famille , je te fait un grooos bizou , pascal QUENTINBONNET, Posted on Wednesday, 28 July 2010 at 933 AM je vous envoie d'enormes pensées La perte de son enfant Il n'y a rien de plus grand C'est un cri du coeur C'est une profonde douleur C'est un sentiment indescriptible Une souffrance indélébile Un manque irremplaçable Un souvenir ineffaçable C'est un sang empoisonné Un froid glacé Une âme déchirée Une vie entière gachée Meurtri par une absence Plus rien n'a de sens Mais il faut continuer Continuer pour l'être aimé Pour l'être tant pleuré Pour lui dont le coeur s'est arrêté Car qu'en arrivera le rendez vous Il doit être fier de vous... gros bisous ma vero QUENTINBONNET, Posted on Tuesday, 27 July 2010 at 1028 PM je suis là ma petite vero et ton petit valentin est dans mes pensées ce soir encore il y a deux ans il etait encore là et le lendemain il est parti un fous là tué je pense a vous tous et juste une chose j'espere que mon quentin et ton petit valentin là haut son des amis pour toujours gros bisous a toi ma vero et a jp jacqueline la maman de l'ange quentin CHRISTOPHE, Posted on Tuesday, 27 July 2010 at 131 PM TRES JOLI POEME bizoune453, Posted on Tuesday, 27 July 2010 at 1259 AM Coucou C'est avec beaucoup de peine que je passe ce soir dans vos blogs je dois trouvé un refuge pour ma chienne....car de nouveau propriétaire a acheté la maison ou je vis ...... et je n'ai pas l'autorisation de garder des animaux.....ni les moyens de déménager..... c'est difficile toujours quelques choses qui ne vas pas...... on nous enlèvent tous ce qu'on aiment pas facile la vie je te souhaite une bonne semaine gros bisous ton amie lise tendres pensées pour nos anges ANGELIQUE, Posted on Monday, 26 July 2010 at 1108 PM Bonsoir Véronique et Jean-Pierre, C'est toujours avec autant d'émotions, de tristesses et de pleurs que je reviens sur le blog de poèmes sont magnifiques. Ce qui est arrivé à votre fils me restera à jamais marqué dans ma n'aurais jamais cru qu'un jour, j'aurais ete aussi sensibilisée... Jamais une journée ne s'écoule sans que je pense à votre Valentin, et à vous, et oui c'est comme ça. Pour moi,Valentin est bien là et il est devenu un petit ange qui veille sur vous chaque jour. Une jolie petite bouille !!! Mais ne vous laissez pas abattre... Continuez votre combat et votre vie pour Florian et votre Mari. Je vous embrasse bien fort et vous assure mon affection la plus sincère. Angélique, une maman des Pyrénées DiomX, Posted on Monday, 26 July 2010 at 1015 PM Bonsoir Véronique Je passe te faire un énorme coucou Dit moi quand je pourrai t'appeler car c'est pour mercredi ma soeur pourrait m'y emmener ça ne la dérange pas bien au contraire. Je te dis à bientôt,prend soin de toi. Christian del, Posted on Monday, 26 July 2010 at 446 PM de gros gros bisous plus gros que la terre rien que pour vous ma vero je t adore pleins de courages en ces jours tres difficiles baronneIngrid, Posted on Monday, 26 July 2010 at 252 AM Poème très émouvant, magnifique et rien que pour vous Véronique. Je vous souhaite une douce journée, tendres et douces pensées pour votre petit Valentin. Biz, Corinne.
Lettreà mon ange, parti beaucoup trop tôt. Le matin du 8 novembre 2017, tu m’as dit bonjour pour la première fois. Deux lignes roses sur le test de grossesse et je savais que tu étais là. Mon petit miracle arrivé si vite, Qu'est-ce que l'amour ? L'échange de deux fantaisies Et le contact de deux épidermes Chamfort I Eh bien ! en vérité, les sots auront beau dire, Quand on n'a pas d'argent, c'est amusant d'écrire. Si c'est un passe-temps pour se désennuyer, Il vaut bien la bouillotte ; et, si c'est un métier, Peut-être qu'après tout ce n'en est pas un pire Que fille entretenue, avocat ou portier II J'aime surtout les vers, cette langue immortelle. C'est peut-être un blasphème, et je le dis tout bas Mais je l'aime à la rage. Elle a cela pour elle Que les sots d'aucun temps n'en ont pu faire cas, Qu'elle nous vient de Dieu, — qu'elle est limpide et belle, Que le monde l'entend, et ne la parle pas. III Eh bien ! Sachez-le donc, vous qui voulez sans cesse Mettre votre scalpel dans un couteau de bois Vous qui cherchez l'auteur à de certains endroits, Comme un amant heureux cherche, dans son ivresse Sur un billet d'amour les pleurs de sa maîtresse, Et rêve, en le lisant, au doux son de sa voix. IV Sachez-le, — c'est le cœur qui parle et qui soupire Lorsque la main écrit, — c'est le cœur qui se fond ; C'est le cœur qui s'étend, se découvre et respire Comme un gai pèlerin sur le sommet d'un mont Et puissiez-vous trouver, quand vous en voudrez rire À dépecer nos vers le plaisir qu'ils nous font ! V Qu'importe leur valeur ? La muse est toujours belle, Même pour l'insensé, même pour l'impuissant ; Car sa beauté pour nous, c'est notre amour pour elle. Mordez et croassez, corbeaux, battez de l'aile ; Le poète est au ciel, et lorsqu'en vous poussant Il vous y fait monter, c'est qu'il en redescend VI Allez, — exercez-vous, — débrouillez la quenouille, Essoufflez-vous à faire un bœuf d'une grenouille Avant de lire un livre, et de dire J'y crois ! Analysez la plaie, et fourrez-y les doigts ; Il faudra de tout temps que l'incrédule y fouille, Pour savoir si son Christ est monté sur la croix VII Eh, depuis quand un livre est-il donc autre chose Que le rêve d'un jour qu'on raconte un instant ; Un Oiseau qui gazouille et s'envole ; — une rose Qu'on respire et qu'on jette, et qui meurt en tombant ; — Un ami qu'on aborde, avec lequel on cause, Moitié lui répondant, et moitié l'écoutant ? VIII Aujourd'hui' par exemple, il plait à ma cervelle De rimer en sixains le conte que voici, Va-t-on le maltraiter et lui chercher querelle ? Est-ce sa faute, à lui, si je l'écris ainsi ? Byron, me direz-vous, m'a servi de modèle. Vous ne savez donc pas qu'il imitait Pulci ? IX Lisez les Italiens, vous verrez s'il les vole. Rien n'appartient à rien, tout appartient à tous. Il faut être ignorant comme un maître d'école Pour se flatter de dire une seule parole Que personne ici-bas n'ait pu dire avant vous. C'est imiter quelqu'un que de planter des choux. X Ah ! pauvre Laforêt, qui ne savais pas lire, Quels vigoureux soufflets ton nom seul a donnés Au peuple travailleur des discuteurs damnés ! Molière t'écoutait lorsqu'il venait d'écrire Quel mépris des humains dans le simple et gros rire Dont tu lui baptisais ses hardis nouveau-nés ! XI Il ne te lisait pas, dit-on, les vers d'Alceste ; Si je les avais faits, je te les aurais lus. L'esprit et les bons mots auraient été perdus ; Mais les meilleurs accords de l'instrument céleste Seraient allés au cœur comme ils en sont venus. J'aurais dit aux bavards du siècle A vous le reste XII Pourquoi donc les amants veillent-ils nuit et jour ? Pourquoi donc le poète aime-t-il sa souffrance ? Que demandent-ils donc tous les deux en retour ? Une larme, ô mon Dieu, voilà leur récompense ; Voilà pour eux le ciel ; la gloire et l'éloquence, Et par là le génie est semblable à l'amour. XIII Mon premier chant est fait. — Je viens de le relire. J'ai bien mal expliqué ce que je voulais dire ; Je n'ai pas dit un mot de ce que j'aurais dit Si j'avais fait un plan une heure avant d'écrire ; Je crève de dégoût, de rage et de dépit Je crois en vérité que j'ai fait de l'esprit XIV Deux sortes de roués existent sur la terre L'an, beau comme Satan, froid comme la vipère, Hautain, audacieux, plein d'imitation, Ne laissant palpiter sur son cœur solitaire Que l'écorce d'un homme et de la passion ; Faisant un manteau d'or à son ambition ; XV Corrompant sans plaisir, amoureux de lui-même, Et, pour s'aimer toujours, voulant toujours qu'on l'aime ; Regardant au soleil son ombre se mouvoir ; Dès qu'une source est pure, et que l'on peut s'y voir, Venant comme Narcisse y pencher son front blême, Et chercher la douleur pour s'en faire un miroir. XVI Son idéal, c'est lui -Quoi qu'il dise ou qu'il fasse, Il se regarde vivre, et s'écoute parler. Car il faut que demain on dise, quand il passe Cet homme que voilà, c'est Robert Lovelace Autour de ce mot-là le monde peut rouler ; Il est l'axe du monde, et lui permet d'aller. XV Avec lui ni procès, ni crainte, ni scandale. Il jette un drap mouillé sur son père qui râle ; Il rôde, en chuchotant, sur la pointe du pied. Un amant plus sincère, à la main plus loyale, Peut serrer une main trop fort, et l'effrayer ; Mais lui, n'ayez pas peur de lui, c'est son métier. XVIII Qui pourrait se vanter d'avoir surpris son âme ? L'étude de sa vie est d'en cacher le fond... On en parle, — on en pleure, — on en rit, qu'en voit on Quelques duels oubliés, quelques soupirs de femme, Quelque joyau de prix sur une épaule infâme, Quelque croix de bois noir sur un tombeau sans nom. XIX Mais comme tout se tait dès qu'il vient à paraître ! Clarisse l'aperçoit, et commence à souffrir. Comme il est beau ! brillants comme il s'annonce en maître ! Si Clarisse s'indigne et tarde à consentir, Il dira qu'il se tue-il se tuera peut-être ; — Mais Clarisse aime mieux le sauver, et mourir. XX C'est le roué sans cœur, le spectre à double face, A la patte de tigre, aux serres de vautour, Le roué sérieux qui n'eut jamais d'amour ; Méprisant la douleur comme la populace ; Disant au genre humain de lui laisser son jour- Et qui serait César, s'il n'était Lovelace XXI Ne lui demandez pas s'il est heureux ou non ; Il n'en sait rien lui-même, il est ce qu'il doit être. Il meurt silencieux, tel que Dieu l'a fait naître L'antilope aux yeux bleus est plus tendre peut-être Que le roi des forêts ; mais le lion répond Qu'il n'est pas antilope, et qu'il a nom lion. XXII Voilà l'homme d'un siècle, et l'étoile polaire Sur qui les écoliers fixent leurs yeux ardents, L'homme dont Robertson fera le commentaire, Qui donnera sa vie à lire à nos enfants Ses crimes noirciront un large bréviaire, Qui brûlera les mains et les cœurs de vingt ans. XXIII Quant au roué Français, au don Juan ordinaire, Ivre, riche, joyeux, raillant l'homme de pierre, Ne demandant partout qu'à trouver le vin bon, Bernant monsieur Dimanche, et disant à son père Qu'il serait mieux assis pour lui faire un sermon, C'est l'ombre d'un roué qui ne vaut pas Valmont. XXIV Il en est un plus grand, plus beau, plus poétique, Que personne n'a fait, que Mozart a rêvé, Qu'Hoffmann a vu passer, au son de la musique, Sous un éclair divin de sa nuit fantastique, Admirable portrait qu'il n'a point achevé, Et que de notre temps Shakspeare aurait trouvé. XXV Un jeune homme est assis au bord d'une prairie, Pensif comme l'amour, beau comme le génie ; Sa maîtresse enivrée est prête à s'endormir. Il vient d'avoir vingt ans, son cœur vient de s'ouvrir. Rameau tremblant encor de l'arbre de la vie, Tombé, comme le Christ, pour aimer et souffrir XXVI Le voilà se noyant dans des larmes de femme, Devant cette nature aussi belle que lui ; Pressant le monde entier sur son cœur qui se pâme, Faible, et, comme le lierre, ayant besoin d'autrui ; Et ne le cachant pas, et suspendant son âme, Comme un luth éolien, aux lèvres de la Nuit. XXVII Le voilà demandant pourquoi son cœur soupire, Jurant, les yeux en pleurs, qu'il ne désire rien ; Caressant sa maîtresse, et des sons de sa lyre Egayant son sommeil comme un ange gardien ; Tendant sa coupe d'or à ceux qu'il voit sourire, Voulant voir leur bonheur pour y chercher le sien. XXVIII Le voilà, jeune et beau, sous le ciel de la France, Déjà riche à vingt ans comme un enfouisseur ; Portant sur la nature un cœur plein d'espérance, Aimant, aimé de tous, ouvert comme une fleur ; Si candide et si frais que l'ange d'innocence Baiserait sur son front la beauté de son cœur XXIX Le voilà, regardez, devinez-lui sa vie. Quel sort peut-on prédire à cet enfant du ciel ? L'amour en l'approchant jure d'être éternel ; Le hasard pense à lui, — la sainte poésie Retourne en souriant sa coupe d'ambroisie Sur ses cheveux plus doux et plus blonds que le miel. XXX Ce palais, c'est le sien ; — le serf et la campagne Sont à lui ; — la forêt, le fleuve et la montagne Ont retenu son nom en écoutant l'écho. C'est à lui le village, et le pâle troupeau Des moines. — Quand il passe et traverse un hameau, Le bon ange du lieu se lève et l'accompagne. XXXI Quatre filles de prince ont demandé sa main. Sachez que s'il voulait la reine pour maîtresse, Et trois palais de plus, il les aurait demain ! Qu'un juif deviendrait chauve à compter sa richesse, Et qu'il pourrait jeter, sans que rien en paraisse Les blés de ses moissons aux oiseaux du chemin. XXXII Eh bien ! cet homme-là vivra dans les tavernes Entre deux charbonniers autour d'un poêle assis ; La poudre noircira sa barbe et ses sourcils ; Vous le verrez un jour, tremblant et les yeux ternes Venir dans son manteau dormir sous les lanternes, La face ensanglantée et les coudes noircis. XXXIII Vous le verrez sauter sur l'échelle dorée, Pour courir dans un bouge au sortir d'un boudoir, Portant sa lèvre ardente à la prostituée, Avant qu'à son balcon done Elvire éplorée, Dans la profonde nuit croyant encor le voir, Ait cessé d'agiter sa lampe et son mouchoir. XXXIV Vous le verrez, laquais pour une chambrière, Cachant sous ses habits son valet grelottant ; Vous le verrez, tranquille et froid comme une pierre, Pousser dans les ruisseaux le cadavre d'un père, Et laisser le vieillard traîner ses mains de sang Sur des murs chauds encor du viol de son enfant. XXXV Que direz-vous alors ? Ah ! vous croirez peut-être Que le monde a blessé ce cœur vaste et hautain, Que c'est quelque Lara qui se sent méconnaître, Que l'homme a mal jugé, qui sait ce qu'il peut être, Et qui, s'apercevant qu'il le serait en vain, Rend haine contre haine et dédain pour dédain. XXXVI Eh bien ! vous vous trompez. — Jamais personne au monde N'a pensé moins que lui qu'il c'`ait oublié. Jamais il n'a frappé sans qu'on ne lui réponde ; Jamais il n'a senti l'inconstance de l'onde, Et jamais il n'a vu se dresser sous son pié Le vivace serpent de la fausse amitié. XXXVII Que dis-je ? tel qu'il est, le monde l'aime encore ; Il n'a perdu chez lui ni ses biens ni son rang. Devant Dieu, devant tous, il s'assoit à son banc. Ce qu'il a fait de mal, personne ne l'ignore ; On connaît son génie, on l'admire, on l'honore. — Seulement, voyez-vous, cet homme, c'est don Juan. XXXVIII Oui, don Juan. Le voilà, ce nom que tout répète, Ce nom mystérieux que tout l'univers prend, Dont chacun vient parler, et que nul ne comprend ; Si vaste et si puissant qu'il n'est pas de poète Qui ne l'ait soulevé dans son cœur et sa tête, Et pour l'avoir tenté ne soit resté plus grand. XXXIX Insensé que je suis ! que fais-je ici moi-même ? Était-ce donc mon tour de leur parler de toi, Grande ombre, et d'où viens-tu pour tomber jusqu'à moi ? C'est qu'avec leurs horreurs, leur doute et leur blasphème Pas un d'eux ne t'aimait, don Juan ; et moi, je t'aime Comme le vieux Blondel aimait son pauvre roi. XL Oh ! qui me jettera sur ton coursier rapide ! Oh ! qui me prêtera le manteau voyageur, Pour te suivre en pleurant, candide corrupteur ! Qui me déroulera cette liste homicide, Cette liste d'amour si remplie et si vide, Et que ta main peuplait des oublis de ton cœur ! XLI Trois mille noms charmants ! Trois mille noms de femme ! Pas un qu'avec des pleurs tu n'aies balbutié ! Et ce foyer d'amour qui dévorait ton âme, Qui lorsque tu mourus, de tes veines de flamme Remonta dans le ciel comme un ange oublié, De ces trois mille amours pas un qui l'ait noyé ! XLII Elles t'aimaient pourtant, ces filles insensées Que sur ton cœur de fer tu pressas tour à tour ; Le vent qui t'emportait les avait traversées ; Elles t'aimaient, don Juan, ces pauvres délaissées Qui couvraient de baisers l'ombre de ton amour, Qui te donnaient leur vie, et qui n'avaient qu'un jour ! XLIII Mais toi, spectre énervé, toi, que faisais-tu d'elles ? Ah ! massacre et malheur ! tu les aimais aussi, Toi ! croyant toujours voir sur tes amours nouvelles Se lever le soleil de tes nuits éternelles, Te disant chaque soir Peut-être le voici Et l'attendant toujours, et vieillissant ainsi ! XLIV Demandant aux forêts, à la mer, à la plaine, Aux brises du matin, à toute heure, à tout lieu, La femme de ton âme et de ton premier vœu ! Prenant pour fiancée un rêve, une ombre vaine, Et fouillant dans le cœur d'une hécatombe humaine, Prêtre désespéré, pour y chercher ton Dieu. XLV Et que voulais-tu donc ?-Voilà ce que le monde Au bout de trois cents ans demande encor tout bas Le sphinx aux yeux perçants attend qu'on lui réponde Ils savent compter l'heure, et que leur terre est ronde Ils marchent dans leur ciel sur le bout d'un compas' Mais ce que tu voulais, ils ne le savent pas. XLVI Quelle est donc, disent-ils,. cette femme inconnue, Qui seule eût mis la main au frein de son coursier ? Qu'il appelait toujours et qui n'est pas venue ? Où l'avait-il trouvée ? où l'avait-il perdue ? Et quel nœud si puissant avait su les lier, Que, n'ayant pu venir, il n'ait pu l'oublier ? XLVII N'en était-il pas une, ou plus noble, ou plus belle, Parmi tant de beautés, qui, de loin ou de près, De son vague idéal eût du moins quelques traits ? Que ne la gardait-il ! qu'on nous dise laquelle. Toutes lui ressemblaient, — ce n'était jamais elle, Toutes lui ressemblaient, don Juan, et tu marchais ! XLVIII Tu ne t'es pas lassé de parcourir la terre ! Ce vain fantôme, à qui Dieu t'avait envoyé, Tu n'en as pas brisé la forme sous ton pied ! Tu n'es pas remonté, comme l'aigle à son aire Sans avoir sa pâture, ou comme le tonnerre Dans sa nue aux flancs d'or, sans avoir foudroyé ! XLIX Tu n'as jamais médit de ce monde stupide Qui te dévisageait d'un regard hébété ; Tu l'as vu, tel qu'il est, dans sa difformité ; Et tu montais toujours cette montagne aride, Et tu suçais toujours, plus jeune et plus aride, Les mamelles d'airain de la Réalité. L Et la vierge aux yeux bleus, sur la souple ottomane, Dans ses bras parfumés te berçait mollement ; De la fille de roi jusqu'à la paysanne Tu ne méprisais rien, même la courtisane, À qui tu disputais son misérable amant ; Mineur, qui dans un puits cherchais un diamant. LI Tu parcourais Madrid, Paris, Naple et Florence ; Grand seigneur aux palais, voleur aux carrefours ; Ne comptant ni l'argent, ni les nuits, ni les jours ; Apprenant du passant à chanter sa romance ; Ne demandant à Dieu, pour aimer l'existence, Que ton large horizon et tes larges amours. LII Tu retrouvais partout la vérité hideuse, Jamais ce qu'ici-bas cherchaient tes vœux ardents, Partout l'hydre éternel qui te montrait les dents ; Et poursuivant toujours ta vie aventureuse, Regardant sous tes pieds cette mer orageuse, Tu te disais tout bas Ma perle est là dedans. LIII Tu mourus plein d'espoir dans ta route infinie, Et te souciant peu de laisser ici-bas Des larmes et du sang aux traces de tes pas. Plus vaste que le ciel et plus grand que la vie, Tu perdis ta beauté, ta gloire et ton génie Pour un être impossible, et qui n'existait pas. LIV Et le jour que parut le convive de pierre, Tu vins à sa rencontre, et lui tendis la main ; Tu tombas foudroyé sur ton dernier festin Symbole merveilleux de l'homme sur la terre, Cherchant de ta main gauche à soulever ton verre Abandonnant ta droite à celle du Destin ! LV Maintenant, c'est à toi, lecteur, de reconnaître Dans quel gouffre sans fond peut descendre ici-bas Le rêveur insensé qui voudrait d'un tel maître. Je ne dirai qu'un mot, et tu le comprendras Ce que don Juan aimait, Hassan l'aimait peut-être ; Ce que don Juan cherchait, Hassan n'y croyait - Chant deuxième Poèmes de Alfred de Musset Citations de Alfred de MussetEtmaintenent je dois continuer seul. Sans toi je suis perdue. Depuis que tu es partie, pas un seul jour. Où je ne pense à toi. Pas une seule minute. Tu es partie et tu me manques énormement. Je ne t'oublierais jamais, Toi, mon amie de toujour. voila jespère que de la ou tu es tu poura voir ce poème que je te dedie tu me manqqueA Propos du PoemeChagrin d’un père qui a perdu sa fille de 3ans…Partie Trop Tôt Tout ce que fait DIEU est bon ! »Quelle belle oxymore ! Une belle maladresse du langage qui irriterait même le plus fervent des croyants ; surtout devoir l’entendre à la suite de la perte de son enfant,Ton sang, ta chair, ton mois maintenant depuis que tu es partie, laissant derrière toi un grand vide et une douleur aussi vive et intense qu’au 1er jour,Mon esprit divague tel un zombie et cherche désespérément à apaiser mon âme en souffrance,Pourquoi toi et pas moi ?Une âme si pure, si innocente, si joviale s’en est allée !Du haut de tes 3bougies, tu étais une vaillante messagère qui répandait l’amour partout où elle passait et ce n’est que le jour de ton enterrement que j’ai enfin découvert l’ANGE que tu étais,On me dit que le temps guérit toujours les blessures du passé,Mais je doute fort pouvoir me remettre un jour de ta perte si es partie sur la pointe des pieds, emportant avec toi mon enthousiasme, mon optimisme, mon espoir, mes rires et ma joie de vivreLe jour de ton départ, est mort l’homme que j’étais !Je survis à travers ton souvenir et me console en me disant que de là où tu es, l’Angevine que t’es devenue parmi les Anges, tu veilles sur ton cher m’efforce de rester fort et de ne pas sombrer, mais lourd est ce fardeau qui pèse sur mes épaules Devoir vivre sans toi et me dire qu’on ne se reverra PLUS JAMAIS dans ce bas monde !Quel sacerdoce !Avec toi, j’ai appris l’Amour, le partage, le pardon, le sacrifice, le don de soi, le sens des responsabilitésJ’espère avoir été un bon père malgré les tumultes d’un divorce qui ont fragilisé notre équilibre familial !Pardonne-nous les mauvais choix qu’on a dû faire sans en prendre conscience…Mon cœur saigne et je demeure inconsolable !En attendant de te retrouver dans l’au-delà, je ressens ta présence dans mon cœur, à travers le sourire de chaque petit enfant que je croise, dans le souffle du vent, le bruit des vagues, le calme de la nuit, l’éclat des étoiles qui tapissent le t’aime ma petite luciole et sois sûre que tant qu’il me restera un souffle de vie, ta place sera toujours dans mon cœur !Puisse le TOUT PUISSANT nous réunir au PARADIS !Tu me manques JAMEELAH ! In my heart, you’ll always have a home !Syllabation De L'ÉcritSyllabes Hyphénique Partie Trop Tôttout=ce=que=fait=dieu=est=bon 8quel=le=bel=leoxy=more=une=bel=le=ma=ladres=se=du=lan=ga=ge=qui=ir=ri=te=rait=mê=me=le=plus=fer=vent=des=croyants=sur=tout=de=voir=len=ten=dreà=la=sui=te=de=la=per=te=de=son=en=fant 46ton=sang=ta=chair=ton=âme 6sept=mois=mainte=nant=de=puis=que=tu=es=par=tie=lais=sant=der=rière=toi=un=grand=vi=deet=une=dou=leur=aus=si=vi=veet=in=ten=se=quau=un=er=jour 34mon=es=prit=di=va=gue=tel=un=zom=bieet=cher=che=dé=ses=pé=ré=ment=à=a=pai=ser=mon=â=me=en=souf=fran=ce 28pour=quoi=toi=et=pas=moi 6u=ne=â=me=si=pu=re=si=in=no=cen=te=si=jo=via=le=sen=est=al=lée 20du=haut=de=tes=trois=bou=gies=tu=é=tais=une=vaillante=mes=sa=gère=qui=ré=pan=dait=la=mour=par=tout=où=elle=pas=sait=et=ce=nest=que=le=jour=de=ton=en=ter=re=ment=que=jai=en=fin=dé=cou=vert=lan=ge=que=tu=é=tais 52on=me=dit=que=le=temps=gué=rit=tou=jours=les=bles=su=res=du=pas=sé 17mais=je=dou=te=fort=pou=voir=me=re=met=tre=un=jour=de=ta=per=te=si=su=bite 20tu=es=par=tie=sur=la=pointe=des=pieds=em=por=tant=a=vec=toi=mon=en=thou=siasme=mon=op=ti=misme=mon=es=poir=mes=ri=res=et=ma=joie=de=vivre 34le=jour=de=ton=dé=part=est=mort=l=hom=me=que=jé=tais 14je=sur=vis=à=tra=vers=ton=souve=nir=et=me=con=so=leen=me=di=sant=que=de=là=où=tu=es=lange=vine=que=tes=de=ve=nue=par=mi=les=an=ges=tu=vei=lles=sur=ton=cher=pa=pa 43je=mef=force=de=res=ter=fort=et=de=ne=pas=som=brer=mais=lourd=est=ce=far=deau=qui=pèse=sur=mes=é=paules=de=voir=vi=vre=sans=toi=et=me=di=re=quon=ne=se=re=ver=ra=plus=ja=mais=dans=ce=bas=monde 48quel=sa=cer=do=ce 5a=vec=toi=jai=ap=pris=la=mour=le=par=ta=ge=le=par=don=le=sa=cri=fi=ce=le=don=de=soi=le=sens=des=res=pon=sa=bi=li=tés 33jes=pèrea=voir=é=té=un=bon=pè=re=mal=gré=les=tu=mul=tes=dun=di=vor=ce=qui=ont=fra=gi=li=sé=no=tre=é=qui=li=bre=fa=mi=lial 34par=don=ne=nous=les=mau=vais=choix=quon=a=dû=fai=re=sans=en=pren=dre=cons=cien=ce 20mon=cœur=sai=gne=et=je=de=meu=re=in=con=so=la=ble 14en=at=ten=dant=de=te=re=trou=ver=dans=lau=de=là=je=res=sens=ta=présence=dans=mon=cœur=à=tra=vers=le=sou=rire=de=cha=que=pe=tit=en=fant=que=je=croi=se=dans=le=souf=fle=du=vent=le=bruit=des=va=gues=le=cal=me=de=la=nuit=lé=clat=des=é=toi=les=qui=ta=pis=sent=le=ciel 67je=taime=ma=pe=ti=te=lu=cio=leet=sois=sû=re=que=tant=quil=me=res=te=ra=un=souf=fle=de=vie=ta=pla=ce=se=ra=tou=jours=dans=mon=cœur 34puis=se=le=tout=puis=sant=nous=réu=nir=au=pa=ra=dis 13tu=me=man=ques=ja=mee=lah=in=my=heart=youl=l=al=ways=ha=ve=a=ho=me 19Phonétique Partie Trop Tôt tu sə kə fε djø ε bɔ̃ ! »kεllə bεllə ɔksimɔʁə ! ynə bεllə maladʁεsə dy lɑ̃ɡaʒə ki iʁitəʁε mεmə lə plys fεʁve dε kʁwajɑ̃, syʁtu dəvwaʁ lɑ̃tɑ̃dʁə a la sɥitə də la pεʁtə də sɔ̃n- ɑ̃fɑ̃,tɔ̃ sɑ̃, ta ʃεʁ, tɔ̃n- mwa mɛ̃tənɑ̃ dəpɥi kə ty ε paʁti, lεsɑ̃ dəʁjεʁə twa œ̃ ɡʁɑ̃ vidə e ynə dulœʁ osi vivə e ɛ̃tɑ̃sə ko œ̃n- e ʒuʁ,mɔ̃n- εspʁi divaɡ tεl œ̃ zɔ̃bi e ʃεʁʃə dezεspeʁemɑ̃ a apεze mɔ̃n- amə ɑ̃ sufʁɑ̃sə,puʁkwa twa e pa mwa ?ynə amə si pyʁə, si inɔsɑ̃tə, si ʒɔvjalə sɑ̃n- εt- ale !dy-o də tε tʁwa buʒi, ty etεz- ynə vajɑ̃tə mesaʒεʁə ki ʁepɑ̃dε lamuʁ paʁtu u εllə pasε e sə nε kə lə ʒuʁ də tɔ̃n- ɑ̃tεʁəmɑ̃ kə ʒε ɑ̃fɛ̃ dekuvεʁ lɑ̃ʒə kə ty etε,ɔ̃ mə di kə lə tɑ̃ ɡeʁi tuʒuʁ lε blesyʁə dy pase,mε ʒə dutə fɔʁ puvwaʁ mə ʁəmεtʁə œ̃ ʒuʁ də ta pεʁtə si ε paʁti syʁ la pwɛ̃tə dε pje, ɑ̃pɔʁtɑ̃ avεk twa mɔ̃n- ɑ̃tuzjasmə, mɔ̃n- ɔptimismə, mɔ̃n- εspwaʁ, mε ʁiʁəz- e ma ʒwa də vivʁələ ʒuʁ də tɔ̃ depaʁ, ε mɔʁ lɔmə kə ʒetε !ʒə syʁviz- a tʁavεʁ tɔ̃ suvəniʁ e mə kɔ̃sɔlə ɑ̃ mə dizɑ̃ kə də la u ty ε, lɑ̃ʒəvinə kə tε dəvənɥ paʁmi lεz- ɑ̃ʒə, ty vεjə syʁ tɔ̃ ʃεʁ mefɔʁsə də ʁεste fɔʁ e də nə pa sɔ̃bʁe, mε luʁ ε sə faʁdo ki pεzə syʁ mεz- epolə dəvwaʁ vivʁə sɑ̃ twa e mə diʁə kɔ̃ nə sə ʁəveʁa plys ʒamε dɑ̃ sə ba mɔ̃də !kεl sasεʁdɔsə !avεk twa, ʒε apʁi lamuʁ, lə paʁtaʒə, lə paʁdɔ̃, lə sakʁifisə, lə dɔ̃ də swa, lə sɑ̃s dε ʁεspɔ̃sabiliteʒεspεʁə avwaʁ ete œ̃ bɔ̃ pεʁə malɡʁe lε tymyltə dœ̃ divɔʁsə ki ɔ̃ fʁaʒilize nɔtʁə ekilibʁə familjal !paʁdɔnə nu lε movε ʃwa kɔ̃n- a dy fεʁə sɑ̃z- ɑ̃ pʁɑ̃dʁə kɔ̃sjɑ̃sə…mɔ̃ kœʁ sεɲə e ʒə dəməʁə ɛ̃kɔ̃sɔlablə !ɑ̃n- atɑ̃dɑ̃ də tə ʁətʁuve dɑ̃ lo dəla, ʒə ʁəsɛ̃ ta pʁezɑ̃sə dɑ̃ mɔ̃ kœʁ, a tʁavεʁ lə suʁiʁə də ʃakə pəti ɑ̃fɑ̃ kə ʒə kʁwazə, dɑ̃ lə suflə dy vɑ̃, lə bʁɥi dε vaɡ, lə kalmə də la nɥi, lekla dεz- etwalə ki tapise lə tεmə ma pətitə lysjɔlə e swa syʁə kə tɑ̃ kil mə ʁεstəʁa œ̃ suflə də vi, ta plasə səʁa tuʒuʁ dɑ̃ mɔ̃ kœʁ !pɥisə lə tu pɥisɑ̃ nu ʁeyniʁ o paʁadi !ty mə mɑ̃k ʒamila ! ɛ̃ mi əaʁ, iuεl εl alwε-avə a ɔmə !Syllabes Phonétique Partie Trop Tôttu=sə=kə=fε=dj=ø=ε=bɔ̃ 9kεl=lə=bεl=lə=ɔk=si=mɔʁə=y=nə=bεl=lə=ma=la=dʁε=sə=dy=lɑ̃=ɡa=ʒə=ki=i=ʁi=tə=ʁε=mε=mə=lə=plys=fεʁ=ve=dε=kʁwa=jɑ̃=syʁ=tu=də=vwaʁ=lɑ̃=tɑ̃=dʁə=a=la=sɥi=tə=də=la=pεʁ=tə=də=sɔ̃=nɑ̃=fɑ̃ 52tɔ̃=sɑ̃=ta=ʃεʁ=tɔ̃=na=mə 7sεt=mwa=mɛ̃=tə=nɑ̃=dəp=ɥi=kə=ty=ε=paʁ=ti=lε=sɑ̃=də=ʁj=ε=ʁə=twa=œ̃=ɡʁɑ̃=vi=də=e=y=nə=du=lœ=ʁə=o=si=vi=və=e=ɛ̃=tɑ̃=sə=ko=œ̃=ne=ʒuʁ 41mɔ̃=nεs=pʁi=di=va=ɡə=tεl=œ̃=zɔ̃=bi=e=ʃεʁ=ʃə=de=zεs=pe=ʁe=mɑ̃=a=a=pε=ze=mɔ̃=na=mə=ɑ̃=su=fʁɑ̃=sə 29puʁ=kwa=twa=e=pa=mwa 6y=nə=a=mə=si=py=ʁə=si=i=nɔ=sɑ̃=tə=si=ʒɔ=vj=a=lə=sɑ̃=nε=ta=le 21dy-odə=tε=tʁwa=bu=ʒi=ty=e=tεzynə=va=jɑ̃=tə=me=sa=ʒε=ʁə=ki=ʁe=pɑ̃=dε=la=muʁ=paʁ=tu=u=εllə=pa=sε=e=sə=nε=kə=lə=ʒuʁ=də=tɔ̃=nɑ̃=tε=ʁə=mɑ̃=kə=ʒε=ɑ̃=fɛ̃=de=ku=vεʁ=lɑ̃=ʒə=kə=ty=e=tε 53ɔ̃=mə=di=kə=lə=tɑ̃=ɡe=ʁi=tu=ʒuʁ=lε=ble=sy=ʁə=dy=pa=se 17mε=ʒə=du=tə=fɔʁ=pu=vwaʁ=mə=ʁə=mε=tʁə=œ̃=ʒuʁ=də=ta=pεʁ=tə=si=sy=bi=tə 21ty=ε=paʁ=ti=syʁ=la=pwɛ̃=tə=dε=pj=e=ɑ̃=pɔʁ=tɑ̃=a=vεk=twa=mɔ̃=nɑ̃=tu=zjas=mə=mɔ̃=nɔp=ti=mis=mə=mɔ̃=nεs=pwaʁ=mε=ʁi=ʁə=ze=ma=ʒwa=də=vi=vʁə 39lə=ʒuʁ=də=tɔ̃=de=paʁ=ε=mɔʁ=lɔ=mə=kə=ʒe=tε 13ʒə=syʁ=vi=za=tʁa=vεʁ=tɔ̃=su=və=niʁ=e=mə=kɔ̃=sɔ=lə=ɑ̃=mə=di=zɑ̃=kə=də=la=u=ty=ε=lɑ̃=ʒə=vi=nə=kə=tε=də=vənɥ=paʁ=mi=lε=zɑ̃=ʒə=ty=vε=jə=syʁ=tɔ̃=ʃεʁ=pa=pa 46ʒə=me=fɔʁ=sə=də=ʁεs=te=fɔʁ=e=də=nə=pa=sɔ̃=bʁe=mε=luʁ=ε=sə=faʁ=do=ki=pε=zə=syʁ=mε=ze=po=lə=də=vwaʁ=vi=vʁə=sɑ̃=twa=e=mə=di=ʁə=kɔ̃=nə=sə=ʁə=ve=ʁa=plys=ʒa=mε=dɑ̃=sə=ba=mɔ̃=də 52kεl=sa=sεʁ=dɔ=sə 5a=vεk=twa=ʒε=a=pʁi=la=muʁ=lə=paʁ=ta=ʒə=lə=paʁ=dɔ̃=lə=sa=kʁi=fi=sə=lə=dɔ̃=də=swa=lə=sɑ̃s=dε=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te 33ʒεs=pε=ʁə=a=vwaʁ=e=te=œ̃=bɔ̃=pε=ʁə=mal=ɡʁe=lε=ty=myl=tə=dœ̃=di=vɔʁ=sə=ki=ɔ̃=fʁa=ʒi=li=ze=nɔ=tʁə=e=ki=li=bʁə=fa=mi=ljal 36paʁ=dɔ=nə=nu=lε=mo=vε=ʃwa=kɔ̃=na=dy=fε=ʁə=sɑ̃=zɑ̃=pʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=sj=ɑ̃=sə 21mɔ̃=kœ=ʁə=sε=ɲə=e=ʒə=də=mə=ʁə=ɛ̃=kɔ̃=sɔ=la=blə 15ɑ̃=natɑ̃dɑ̃də=tə=ʁə=tʁu=ve=dɑ̃=lo=də=la=ʒə=ʁə=sɛ̃=ta=pʁe=zɑ̃=sə=dɑ̃=mɔ̃=kœʁ=a=tʁa=vεʁ=lə=su=ʁi=ʁə=də=ʃa=kə=pə=ti=ɑ̃=fɑ̃=kə=ʒə=kʁwa=zə=dɑ̃=lə=su=flə=dy=vɑ̃=lə=bʁɥi=dε=va=ɡə=lə=kal=mə=də=la=nɥi=le=kla=dε=ze=twa=lə=ki=ta=pi=se=lə=sjεl 67ʒə=tε=mə=ma=pə=ti=tə=ly=sj=ɔ=lə=e=swa=sy=ʁə=kə=tɑ̃=kil=mə=ʁεs=tə=ʁa=œ̃=su=flə=də=vi=ta=pla=sə=sə=ʁa=tu=ʒuʁ=dɑ̃=mɔ̃=kœ=ʁə 38pɥi=sə=lə=tu=pɥi=sɑ̃=nu=ʁe=y=niʁ=o=pa=ʁa=di 14ty=mə=mɑ̃k=ʒa=mi=la=ɛ̃=mi=ə=aʁ=i=u=εl=εl=a=lwε-a=və=a=ɔ=mə 21 Commentaire Sur La Poesie21/07/2020 2108AnyaTrès beau texte, très émouvant Rien n est plus douloureux, injuste, que la perte d’un enfant. C’est quelque chose que l on portera en soi tout le temps mais déjà lui redonner une présence par ses écrits, faire revivre son souvenir est libérateur. Tant que les êtres qui sont partis , que l’on a aimés, sont dans nos pensées partagées, ils sont encore là. Parfois après quelques mois quelques années on ressent une forte présence comme s’ils étaient des anges gardiens qui là haut peut être, veillent sur nous. La vie continue, il y aura peut être d’autres amours d’autres enfants sans jamais oublier votre petite fille pour autant. Bon courage et merci pour le partage Rencontrer d’autres parents qui ont connu la même douleur peut aussi apporter un récronfort. Poème DétressePublié le 21/07/2020 1550 L'écrit contient 430 mots qui sont répartis dans 1 strophes. Poete PPSs Récompense Texte des commentateurs
Unechanson pour les papas disparus 23. Svp tenez bon ! Ce petit texte est dédié à tous nos anges partis trop tôt. Community. Un dernier tour au casino. Laura Schembri - La distance des étoiles 8. Association "Papa parti trop tôt", Raismes. J'suis parti trop tôt. Elle n'est pas aussi sentimentale que “Cat’s in the Cradle”, mais plus honnête. Papa, j’aimerais tant pouvoir te
Angepartis trop tôt - Ce jours ou on m'as annoncer que plus jamais je te reverrais a surement étais le pire jours de mon existence,toi une personne si parfaite !
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